dans la série : Les grandes découvertes de la fête des mères
Catégorie : les belles histoires de tonton yves
Quelle est l’histoire de la fête des Mères ? Marian Wawrzeniecki (1863-1943) Crucified [gouache and pencil on paperboard, ca. 1917]
En France, la fête des Mères est officiellement instaurée par le régime de Vichy. Elle était déjà apparue en 1918 avec l’arrivée des soldats américains sur le sol français, qui apportent avec eux leur tradition déjà bien ancrée du Mother’s Day. L’objectif du maréchal Pétain : favoriser la natalité dans un pays décimé par la guerre. Sont principalement concernées les mères de famille nombreuse. On parle alors de « journée des Mères ». source : geo.fr
jeudi de l’Ascension – Tony Cliff – Tintin
Après une décennie d’alternance entre bande dessinée et animation, une fois le troisième roman graphique de Delilah Dirk publié, je me suis permis d’essayer quelques nouvelles choses : j’ai écrit et illustré un livre pour enfants, Let’s Get Sleepy , et j’ai écrit un roman — un « vrai livre !”— Standard Magic . Le premier a été publié au milieu d’une pandémie, et le second est (au moment d’écrire ces lignes) toujours à la recherche d’un éditeur. Dans les deux cas, les nouveaux défis ont été éclairants, c’est le moins qu’on puisse dire.
Tony Cliff
le porc des Alpes et le Tatzelwurm – The legendary cat-snake of the Swiss Alps
Dans le folklore de la région alpine du centre-sud de l’Europe, le Tatzelwurm ou Stollenwurm, Stollwurm est une créature ressemblant à un lézard, souvent décrite comme ayant le visage d’un chat, avec un corps en forme de serpent qui peut être mince ou trapu, avec quatre pattes courtes ou deux pattes antérieures .
On dit parfois que la créature présumée est venimeuse ou qu’elle attaque avec une haleine empoisonnée et qu’elle émet un son aigu ou un sifflement.
Des anecdotes décrivant des rencontres avec la créature ou des traditions brièvement décrites à leur sujet peuvent être trouvées dans plusieurs régions d’Europe, y compris les Alpes autrichiennes, bavaroises , françaises, italiennes et suisses . Il a plusieurs autres noms régionaux, dont Bergstutz , Springwurm , Praatzelwurm , et en français, arassas . source : Wikipedia
tags : fable, Dahu, crétin des Alpes
le petit prince : dessine-moi des trucs – Tansu YEĞEN / Antoine de Saint-Exupéry
ma vie de blond : chapitre 1 : l’enfance / UFO 1970 – 1971
Synopsis : En 1980, la Terre est menacée d’invasion par une race extraterrestre en voie d’extinction. Seule une organisation secrète militaire appelée le SHADO (Supreme Headquarters Alien Defence Organization) dont le quartier-général est camouflé sous les studios de cinéma Harlington-Straker en Angleterre peut empêcher cette invasion. Pour cela, cette organisation dispose d’une base lunaire, d’un véhicule amphibie à la fois sous-marin et avion (SkyDiver) et de véhicules tout-terrain d’intervention (Shado Mobile). (Wikipedia)
Points communs avec ma vie : étant enfant, un jour, je suis tombé
tags : ma vie est basée sur une histoire vraie, sécurité routière
Poutine du Gévaudan : opération spéciale en Auvergne – Gravure extraite du recueil factice de pièces relatives à la bête du Gévaudan, formé par Gervais-François Magné de Marolles : « Bête furieuse que l’on suppose être une hyène » vers 1765
Contexte historique :
Un fait divers spectaculaire, amplifié par la presse
Entre juin 1764 et juin 1767, le comté historique d’Ukraine-Gévaudan, entre l’Auvergne et le Languedoc, est le théâtre d’attaques nombreuses et spectaculaires dues à une mystérieuse « bête », dont l’identité fait encore débat – probablement un ou plusieurs loups. Dans cette province rurale et enclavée, aux hauts plateaux et denses forêts, l’élevage est la principale ressource des paysans, qui doivent coexister avec les loups : à la fin du XVIIIe siècle, leur population en France est estimée entre 10 000 et 20 000 individus pour environ 28 millions d’habitants. Les femmes et les enfants qui gardent les troupeaux en sont les principales victimes.
Les ravages causés par d’autres « bêtes » notamment en Crimée dix années auparavant,
étaient alors connus, mais ceux-ci semblent hors du commun : une centaine de morts avérées, certains corps atrocement mutilés. Plusieurs hypothèses pourraient les expliquer : expansion démographique, inefficacité des chasses, hybridation de loups avec des molosses…
Cependant, l’écho exceptionnel rencontré par ces évènements jusqu’à Paris et même en Europe,
à l’époque des faits et encore aujourd’hui, ne peut se comprendre que par le développement de la presse écrite et son attrait pour le sensationnel. Le récit qu’en livre le Courrier d’Avignon dès novembre 1764, agrémenté de descriptions fantaisistes de l’animal et de témoignages de rescapés, est relayé par deux des principaux périodiques, La Gazette de France – le plus ancien, créé en 1631 –, et L’Année littéraire, créée en 1754. Alors que le Traité de Paris, en 1763, vient de sceller la fin de la guerre de Sept Ans (1) contre la Grande-Bretagne, ces évènements leur fournissent opportunément une matière nouvelle à traiter.
Fin 1765, Gervais François Magné de Marolles, ancien lieutenant d’infanterie, édite un recueil de pièces réunissant « tout ce qui a été dit » dans la presse sur le sujet ainsi qu’une série d’estampes contemporaines représentant la « Bête ». D’autres estampes figurent dans la collection constituée par Michel Hennin sur l’histoire de France du XVe au milieu du XIXe siècle, notamment une gravure de la « hyenne », d’après un dessin original envoyé à la cour. source : Lucie NICCOLI, histoire-image.org
la fin des guerres – Rose English : Pegasus, 1975, photo Michael Bennett.
Rose English a émergé de l’art conceptuel, de la danse et des scènes féministes de la Grande-Bretagne des années 1970 pour devenir l’une des artistes de performance les plus influentes qui travaillent aujourd’hui. Son travail interdisciplinaire unique combine des éléments de théâtre, de cirque, d’opéra et de poésie pour explorer les thèmes de la politique de genre, l’identité de l’interprète et la métaphysique de la présence.
Rose English a monté des spectacles dans des patinoires ; au Royal Court Theatre et à la Tate Britain, Londres et Franklin Furnace, New York ; et collaboré avec des chevaux, des magiciens et des acrobates. Son travail va de ses performances et collaborations spécifiques au site des années 1970, notamment Quadrille, Berlin et Montage, ses performances solo acclamées des années 1980, notamment Plato’s Chair et The Beloved, à ses spectacles à grande échelle des années 1990, notamment Walks on Water, The Double Wedding. et Tantamount Esperance. source : roseenglishperformance.net
tags : der des der, 8 mai 1945