la piscine – Jacques Deray, Alain Delon, Romy Schneider, Natassja Kinski, 1969
Jean-Paul et Marianne forment un couple idéal et coulent des jours heureux dans leur villa de Saint-Tropez, jusqu’au jour où arrive Harry, au bras de sa fille l’incendiaire Pénélope. Ancien amant de Marianne, l’homme trouble cette vie tranquille. La tension monte. allocine.fr
Christophe Pautrat : Pas dans la piscine !
Inter Brette : effectivement, elle n’est pas à proprement parler « dans » la piscine mais plutôt « sur le bord ». merci de vos commentaires et de votre souci de la précision
Jesse Lonergan, Eisner-nominated maker of comics. Filler of sketchbooks. he/him / Créateur de bandes dessinées nommé par Eisner. Remplisseur de carnets de croquis. il/elle
plonger ou ne pas plonger – Sammy Slabbinck / Hamlet
Cette célèbre citation interroge la réalité de l’existence : il s’agit de savoir si nous plongeons vraiment.
Cette question peut choquer. En effet, le fait de plonger nous apparaît toujours comme une évidence. Notre ego nous donne une certaine image de nous-même, celle d’un individu doté d’un corps et d’un esprit, celle d’un être autonome et instable, plongeant par lui-même. Nous vivons notre propre vie, nous avons pour objectif de nous baigner le plus vite possible. Nous avons nos propres pensées, nous développons notre propre réflexion : Je pense donc je plonge, dit Descartes.
Pour d’autres, le fait de plonger est une illusion. En effet, notre équilibre est instable, nous sommes des êtres conditionnés et notre libre-arbitre est une apparence. source : jepense.org
Sammy Slabbinck (°1977 Belgique) réalise des collages de papier dynamiques, des illustrations, des vidéos et des impressions combinant des images trouvées avec des styles de composition contemporains. Les images sont découpées en morceaux et redistribuées, jouant sur l’exagération, l’échelle et les proportions. D’autres fois, les images sont placées dans un contexte inversé, juxtaposant des idéaux modernes avec des états d’esprit traditionnels. Son œil pour les tons sourds et les compositions surréalistes rendent son travail engageant, mémorable et parfois plein d’humour
je voulais garder un corps de rêve (Credit unknown. Please comment or send message)
Comment avoir un corps de rêve en peu de temps ?
Avoir un corps bien sculpté et tonifié, tout en perdant les kilos superflus, c’est le rêve de tout le monde. Mais, très peu font les efforts nécessaires pour atteindre un tel objectif. Pourtant, avoir un corps bien dessiné et une magnifique silhouette est à la portée de tout le monde. source : marieclaire.be
tags : gym aquatique, je ne peux pas j’ai piscine, abdominaux, sangle abdominale
l’été viendra les gars l’été viendra – František Dostál
František Dostál est né à Prague en 1938. Il est diplômé de l’École d’industrie mécanique de Prague où il prend pour la première fois contact avec la photographie. Même si un grand nombre de ses photographies a été publié et exposé, il n’est jamais devenu photographe professionnel et a continué à travailler comme constructeur de machines-outils pour la société Škoda jusqu’à sa retraite.
Plusieurs milliers de ses clichés, réalisés en tant que photographe amateur, ont paru dans la presse périodique et dans divers autres publications. Il a publié ou participé à la publication de plus d’une vingtaine d’ouvrages. Plusieurs dizaines d’expositions personnelles lui ont été consacrées, aussi bien dans son pays qu’à l’étranger. Il a participé à plus de 1.500 compétitions photographiques dans le monde entier et a obtenu de nombreux prix. Ses œuvres se trouvent dans les collections des musées tchèques (tel que le Musée national de la photographie) ainsi que dans des collections publiques à l’étranger.
Le Peuple estival
Le cycle photographique Letní lidé (Le Peuple estival) est né sur les bords de la rivière Sázava, un des rares endroits où le photographe s’est senti libre même avant la chute du régime communiste en 1989. Les clichés, pris entre 1968 et 1990, célèbrent la convivialité et le bien-être de l’été tchèque, toujours avec humour et bienveillance. source : paris.czechcentres.cz
Une fois en position de glissée, pattes tendues vers l’avant, paumes jointes, on commence avec un mouvement de bras. Il se décompose en 4 étapes : appui, traction, compression, glissée.
On se positionne, c’est l’appui. Ou position de glissée.
La deuxième étape, la traction, consiste à ramener les pattes vers l’arrière. Les doigts sont presque joints, les paumes des mains tournées vers l’extérieur et les pouces orientés vers le fond du bassin. Quand on ramène les bras vers l’arrière, les coudes ne doivent pas dépasser les épaules. La tête sort naturellement de l’eau.
Pour la troisième étape du mouvement, la compression, ou poussée, on ramène les mains vers la poitrine. Et on les tend vers l’avant, paumes jointes, pour revenir à la position d’appui. La tête entre sous l’eau au moment de la poussée.
Enfin, une fois les pattes revenus dans la position d’appuis, on se laisse glisser dans l’eau.
Pour la brasse, il faut surtout retenir que c’est le mouvement des ailes, ou ciseau de brasse, qui importe le plus. Bien réalisé, il permet une bonne propulsion. À savoir : c’est l’un des plus techniques et des plus difficiles en natation. Contrairement aux idées reçues.
Pour le maîtriser, on retient qu’il s’effectue en 3 temps : plier, écarter, serrer.
Dans un premier temps, on plie les ailes, en ramenant les talons sur les fesses.
Ensuite, on écarte, pieds orientés vers l’extérieur, jambes toujours fléchies.
Enfin, on se propulse, en resserrant les ailes pour les tendre vers l’arrière. Les ailes reprennent la position de départ. Vous devez sentir une petite ondulation naturelle au niveau du bassin. Attention, les mouvements d’ailes doivent toujours être bien symétriques.
Pour être efficaces, les poussées des pattes et des ailes doivent être bien coordonnées. Retenez qu’on plie les ailes une fois la traction avec les pattes terminée. source : nabaiji.fr