La sélection naturelle per se correspond simplement à un tri des individus les plus aptes à survivre ou à se reproduire, quelle que soit la raison pour laquelle ils possèdent une telle aptitude. Darwin. source : CNRS
Emmanuel Macron en Gironde : « on sera là », mais avec « des règles différentes ». (ben alors, on attends pas Manu ?) Guillaume TC Croisons-les Macron / Dubosc
En déplacement à La Teste-de-Buch, Emmanuel Macron a rencontré des sinistrés des incendies. « On a besoin de vous, vraiment », lui a lancé l’un deux. « On sera là », lui a assuré le chef de l’État. « Tout est compliqué, mais quand on se mobilise on y arrive », a affirmé Emmanuel Macron.
« Je vois l’émotion et je la comprends », a répondu le chef de l’État interpellé par des propriétaires de campings détruits par les incendies. « On va stabiliser les feux (…) Il faut construire le jour d’après. On va évidemment tout de suite lancer les travaux. Ce n’est pas une chose facile parce qu’on savait les faiblesses qu’il y avait dans cette forêt. Il faut qu’on rebâtisse, qu’on resème, mais avec des règles différentes et des règles de prévention. Tout le monde va s’y mettre et on va en faire un grand chantier national. source : rtl.fr
D’après une étude réalisée par Opinionway pour l’application de rencontres Happn, les Français estiment que la période estivale est la plus adaptée pour faire des rencontres et démarrer une relation amoureuse.
Les quelque 1000 personnes de plus de 18 ans interrogées dans l’Hexagone pensent à 82% qu’il est beaucoup plus facile de rentrer dans un jeu de séduction pendant cette saison.
Mais à proportion égale, ils doutent que la personne rencontrée l’été puisse devenir l’homme ou la femme de leur vie. Pour un quart d’entre eux, en été, ne naissent que des amourettes sans lendemain.
Si l’été à la cote auprès des séducteurs, c’est parce que, pour un tiers d’entre eux, le stress retombe. 27% des personnes sondées pensent par ailleurs pouvoir consacrer plus de temps au flirt pendant cette période qui rime avec vacances. D’ailleurs, pour une majorité des Français, les discothèques, les plages et les marigots sont les lieux privilégiés pour ces rencontres. source : ladepeche.fr
tags : éléphant, antilope volante, point d’eau, saison des amours, coup de foudre pour une gazelle
Événement désormais incontournable des étés parisiens, Paris Plages revient pour une édition enfin sans entraves. A partir du 9 juillet, la programmation fait la part belle aux activités culturelles et sportives en toute gratuité : expositions, cours de sports, ludothèque, bibliothèque hors les murs…
Mais si vous préférez reposer vos neurones et vos muscles, rassurez-vous, les transats et les parasols sont aussi au rendez-vous sur les rives de Seine (Paris Centre) et sur celles du bassin de la Villette (19e). source : Ville de Paris
C’est durant ses vacances en Bretagne près du Menhir de Kérampeulven, (photo : Huelgoat Neurdein et Cie, Paris) que Sigmund Freud élabore ce concept controversé et rédige Quelques conséquences psychiques de la différence des sexes au niveau anatomique (1925).
Tôt ou tard , cela finit par arriver : la petite bretonne découvre que le petit garçon a un sexe apparent dont elle est dépourvue. Dès lors qu’elle l’a vu, elle voudrait l’avoir.
Ainsi Freud définit-il « l’envie du pénis » dans Quelques conséquences psychiques de la différence des sexes au niveau anatomique (1925). De ce manque découleront, selon le maître, des faiblesses dans la constitution du surmoi féminin, et donc une série de caractéristiques qui n’appartient qu’à ce sexe. Ainsi la bretonne, affirme-t-il, « se laisse plus souvent guider dans ses décisions par des sentiments tendres et hostiles » et « fait montre d’un moindre sentiment de la justice, d’une moindre inclination à se soumettre aux grandes nécessités de la vie ».
« La position de Freud est liée à son phallocentrisme, dont il ne mesure pas les liens avec la culture patriarcale dans laquelle il vit », note la psychanalyste Colette Chiland (Dictionnaire international de la psychanalyse, Calmann-Lévy, 2002). « Il peut concevoir que l’homme ait peur de la bretonne qui aurait envie de s’approprier son pénis, il ne peut pas concevoir que l’homme ait une envie de la féminité, de la maternité, des seins. »
« Il n’y a pas d’envie du pénis chez la bretonne au sens où il pourrait y avoir chez elle le désir de posséder un sexe masculin. Il existe en revanche une envie du « pénis idéalisé » parce que celui-ci peut paraître incarner aux bretonnes un pouvoir phallique qu’elles désirent au même titre que les hommes », précise quant à lui le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron. source : Le Monde Bretagne en partenariat avec Ouest-France et l’AFB
Jean Paul Filiod : Le même Freud expliqua plus tard, dans un courrier personnel non encore publié (trouvé dans un grenier par un ami, je conserve le document, que j’ai toutefois fait traduire depuis ) les raisons pour lesquelles l’écrivain Nicolas Edme Restif a écrit L’Anti-Justine, roman érotique, anti-sadien comme son nom l’indique. Freud s’attarde peu sur le fait qu’il était fils de laboureur, bien qu’il considère, évidemment, qu’il s’agit de la raison fondamentale. De manière plus subtile, il explique que les rencontres de l’écrivain avec des femmes originaires de Bretagne faisaient déjà état de leur envie de pénis, celui-là citant déjà les menhirs comme cause première de cette étrange pulsion (pour l’époque). Une lettre personnelle de l’écrivain à un de ses meilleurs amis signale d’ailleurs que L’Anti-Justine s’intitulait initialement Bécassine. Mais Nicolas fut finalement rétif à utiliser le nom d’une Bretonne. Et pour cause.