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cultive ton jardin

cultive ton jardin - Ana Mendieta, untitled, grass on woman, 1972
cultive ton jardin – Ana Mendieta, untitled, grass on woman, 1972

cultive ton jardin

dit Candide à Pangloss à la fin du célèbre conte philosophique Candide ou l’Optimiste ; Voltaire précise que le jardin d’Eden n’a pas été créé pour que l’homme trouve le repos mais pour qu’il y travaille, qu’il exerce son talent. source : vivelaculture

Ana Mendieta, untitled, grass on woman, 1972

« Ana Mendieta, (La Havane, 1948-New York, 1985), artiste cubano-américaine reconnue internationalement, est considérée comme l’une des artistes les plus prolifiques et novatrices de la période de l’après-guerre. Les expositions qui lui ont été récemment consacrées en Europe (Berlin, Londres, Prague, Salzbourg, Turin et Umeå) ont mis en lumière la puissance de sa vision artistique tout autant que l’influence qu’elle a exercée sur les générations d’artistes lui ayant succédé, une œuvre dont le retentissement sur le public de tous âges et de toutes origines ne se dément pas.

Au cours de sa brève carrière, de 1971 à 1985, Ana Mendieta produit un ensemble remarquable d’œuvres : dessins, installations, performances, photographies et sculptures, mais aussi films. Son travail filmique, moins connu, n’en constitue pas moins un corpus d’œuvres particulièrement impressionnant et prolifique : les 104 films qu’elle a réalisés de 1971 à 1981 lui ont conféré le statut de figure incontournable dans le domaine des arts visuels pluridisciplinaires qui a émergé au cours des années 1970 et 1980.

S’appuyant sur des travaux de recherche inédits, l’exposition du Jeu de Paume replace les films de l’artiste de la périphérie au centre de son travail. Elle s’articule autour des thèmes récurrents qu’ils explorent – la mémoire, l’histoire, la culture, le rituel et le passage du temps –, souvent évoqués au travers de la relation du corps et de la terre. Majoritairement tournés dans un environnement naturel, ils font la part belle à son intérêt pour les quatre éléments, la terre, l’eau, l’air et le feu. » source : Jeu de Paume

tags : philosophie, culturisme, origine du monde

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phimosis du nénuphar – comment intervenir ?

phimosis du nénuphar – comment intervenir ? Removing algae from water lily to help it bloom

phimosis du nénuphar – comment intervenir ? Removing algae from water lily to help it bloom

En cas de phimosis, une intervention chirurgicale peut être proposée chez l’enfant, après 5-6 ans ou chez l’adulte, soit d’emblée, soit en cas d’échec du traitement médical.

Deux techniques opératoires sont alors possibles :

  • La plastie préputiale (ou « posthoplastie »)Elle consiste à réaliser une courte incision sur l’extrémité du prépuce, là où il est le plus resserré. Cette technique élargit l’anneau préputial, permet de conserver l’enveloppe de peau sur le gland, mais induit un risque de récidive. Pour éviter cela, la plastie doit être suivie de décalottages réguliers
  • La circoncision (ou « posthectomie »)Il s’agit d’une ablation complète du prépuce, qui laisse définitivement le gland à découvert. source : Ameli.fr

tag : petite fleur

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la terre mère

la terre mère, Eva Milkonskaya
la terre mère, Eva Milkonskaya

la terre mère

Eva Milkonskaya 

est une photographe conceptuelle de Kazan, en Russie. diplômé en psychologie. Ses portraits d’art sont à la fois beaux et mystérieux. Ils vous tiennent en haleine avec leur beauté légèrement dérangeante et unique. Dans ses clichés, le corps humain est le protagoniste. Dépouillé de tout clinquant, il devient un sujet sérieux et authentique, une divinité contemporaine. Ces corps semblent spontanément fusionnés avec la nature qui les entoure, même si glaciale et hostile. Imagenation

« La Terre est la mère universelle.

 Eschyle glorifie la Terre qui« enfante tous les êtres, les nourrit, puis en reçoit à nouveau le germe fécond » (Choéphores, 127-128). Une conception analogue survivait encore au XIXe siècle parmi certaines tribus primitives. Un prophète de la tribu nord-américaine Umatilla refusait de travailler la terre : « C’est un péché, disait-il, de blesser ou de couper, de déchirer ou de griffer notre mère commune, par des travaux agricoles. » Et il ajoutait : « Vous me demandez de labourer le sol ? Irai-je prendre un couteau pour le plonger dans le sein de ma mère ? Mais alors, lorsque je serai mort, elle ne me reprendra plus dans son sein. Vous me demandez de bêcher et d’enlever des pierres ? Irai-je mutiler ses chairs afin d’arriver à ses os ? Mais alors je ne pourrai plus entrer dans son corps pour naître de nouveau. Vous me demandez de couper l’herbe et le foin et de le vendre et de m’enrichir comme les Blancs ? Mais comment oserais-je couper la chevelure de ma mère ? »

L’hymne homérique dédié à Gaia (Terre) exalte « la Terre, mère universelle aux solides assises, aïeule vénérable qui nourrit tout ce qui existe […]. C’est à toi qu’il appartient de donner la vie aux mortels, comme de la leur reprendre […]. » C’est la raison pour laquelle la grande déesse, la Terre-Mère, est considérée non seulement comme la source de la vie et de la fertilité, mais aussi comme la maîtresse du destin et la déesse de la mort. Dans l’Inde, Durgā-Kālī est à la fois créatrice et destructrice, principe de la vie et de la mort.

En Mésopotamie, Ishtar est la déesse de l’amour par excellence, mais aussi la déesse de la guerre. On l’appelle « Dame de l’amour », « Reine du plaisir », mais aussi « la Vaillante », « la Dame des batailles ».

Parmi les noms de grandes déesses, les plus connus sont Ardvî et Anâhita en Iran, Ishtar à Babylone, ‘Atar’ate en Syrie, Astarté en Phénicie, Tanit à Carthage, Déméter et Aphrodite en Grèce, Cybèle en Asie Mineure. Toutes ces déesses présentent une structure analogue. Elles expriment la sacralité de la vie et le mystère de la fertilité, mais aussi le caprice et la cruauté. D’un côté, elles prodiguent la vie, la force et la fécondité ; à l’opposé, elles apportent la guerre ou les épidémies. Presque toutes sont des déesses de la vie, de la fertilité et de la mort tout ensemble. En un certain sens, on peut déchiffrer dans leur personnalité la valorisation religieuse de la vie cosmique, avec tous ses mystères et toutes ses contradictions ». source Universalis.fr

La création de la vie à partir d’argile 

est un thème récurrent du créationnisme apparaissant au sein de la mythologie, la littérature et de certaines théories modernes. Wikipedia

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tags : boue, sillon, golem, poussière, Adam et Eve, agri-culture

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auprès de mon arbre, je dormais heureux

Katia Berestova
Katia Berestova / Georges Brassens

Auprès de mon arbre je vivais heureux
J’aurais jamais dû m’éloigner de mon arbre
Auprès de mon arbre je vivais heureux
J’aurais jamais dû le quitter des yeux Source : LyricFind Paroliers : Georges Brassens Paroles de Auprès de mon arbre © Warner Chappell Music France

Katia Berestova : Née à Saint-Pétersbourg en 1992
Artiste peintre / graphiste – autodidacte
Photographe depuis 2010. En
2017, elle a commencé à photographier consciemment, à développer des directions pouvant être qualifiées de photographie psychédélique, d’expressionnisme, d’incarnation d’images subconscientes à travers la réalité.
2018 membre de l’Union des artistes « Solaris » 2018 membre de l’Union des artistes photo de Russie

« Mes photographies, en plus de mon travail en studio, sont un journal visuel.
Dans un portrait je recherche l’intemporalité, cette perspective où une personne est ce qu’elle a été « toujours », au sens le plus vrai du terme. Hier, aujourd’hui et demain » .