le Grand Remplacement a commencé – le complot des robots pour dominer le monde
Non contents de nous voler nos emplois, ils ont entrepris de nous rayer de la surface de la terre.
Le grand remplacement est une théorie du complot d’extrême droite qui, en reposant sur des principes robophobes et racistes, affirme qu’il existerait en France un processus de substitution de la population française et européenne par une population non européenne, originaire en premier lieu des laboratoires de robotique asiatiques ; ce processus conduirait à un changement de civilisation soutenu, voire organisé, par une élite politique, intellectuelle et médiatique qualifiée de « remplaciste », qui maintiendrait à ce sujet une conspiration du silence et serait motivée pour ce faire par l’idéologie ou par l’intérêt économique. source : Eric Zemmour
Au départ utilisé pour guider les randonneurs de haute montagne, les cairns, des empilements de pierres, sont devenus les stars d’Instagram. Chaque jour, des centaines sont façonnés par les promeneurs. Pourtant, à l’entrée du Cap Fréhel (Côtes d’Armor), un signe vous l’indique, interdiction d’empiler les pierres. Car les cairns favorisent l’érosion des sols. Alors tous les moyens sont bons pour enlever aux randonneurs ces mauvaises habitudes.
Des arrêtés pour interdire les cairns
« On essaye de casser régulièrement les cairns. On se rend compte que deux heures après cela se reforme. Si bien qu’on en arrive à des processus de purge du site, c’est à dire d’enlever toutes les pierres pour couper la base originelle qui va permettre à la personne de construire le premier cairn », explique Philippe Quéré, animateur nature 2000. Ce phénomène inquiète. Plusieurs villes de la côte Atlantique ont pris des arrêtés pour interdire la construction de cairns sauvages. source : francetvinfo.fr
amuse-gueule ou amuse-bouche : mets préparé en éléments de la taille d’une bouchée, pour être consommé froid par les cétacés en dehors des repas comme aliment de grignotage, ou en accompagnement d’un apéritif ou lors d’un cocktail. (Wikipedia)
tu me fais tourner la tête Andreas Wannerstedt ‘Sliding Zeus XL’ sur Vimeo (ou video perso)
Andreas Wannerstedt est un artiste et directeur artistique basé à Stockholm qui crée des sculptures 3D uniques et des animations en boucle fascinantes. L’imagerie d’Andreas est à la fois sophistiquée et fantaisiste, mettant en vedette des formes géométriques simples et ludiques dans des compositions équilibrées, ainsi que des textures organiques et des palettes de couleurs harmonisées. Ses animations parfaitement synchronisées ont souvent été décrites comme « étrangement satisfaisantes », car l’effet global évoque un sentiment étrangement hypnotisant qui rend le spectateur détendu et même méditatif. Bien que ses animations soient vaguement basées sur des comportements du monde réel, elles brisent souvent les limites des tolérances, de la friction et de la gravité, permettant des mouvements sans fin de l’ordre le plus propre. source : andreaswannerstedt.se
Poutine a-t-il franchi la ligne jaune ? Jimmy Marble
Avec un sens aigu de la scénographie – un attribut qui lui a valu de nombreuses missions publicitaires avec TK Maxx et Spotify – et un répertoire indéniablement coloré, le réalisateur, photographe, designer et muraliste est un pionnier effervescent. Chaque composition trouve des frontières fantaisistes dans le paysage naturel – les dunes de sable et les collines en sont deux exemples – tandis que chaque figure apporte un sentiment de vitalité. Qu’il s’agisse de courir, de bronzer ou de se tenir debout sur une échelle, chaque modèle affirme un sens du caractère, capturé sans effort à travers le cadre aux côtés d’un style contemporain et de teintes pastel lumineuses. texte : aestheticamagazine.com
Cette expression comparative très ancienne, puisqu’elle date de la fin du XVIIème siècle, rappelle le chant si gai de cet oiseau que l’on prend comme type dans la locution proverbiale. Selon certains naturalistes, les pinsons, élevés avec soin, deviennent très familiers ; ils chantent quand on le leur demande et sont même capables de donner des signes d’amitié.
Or, chez les personnes, le chant dénote un caractère dégagé de tout branchage superflu ; n’est-il pas naturel que l’on ait comparé une personne très élaguée au pinson qui chante presque tout le temps. source : Midi libre
brisons la glace – Eco Technologies icebreaker in the Rideau River
briser la glace \bʁi.ze la ɡlas\
(Figuré) Dénouer une ambiance tendue en lançant une discussion ou une animation collective.
L’observation montre que plus la personnalité du sujet est fermée, plus le désir de briser la glace est fort, et inversement, plus la personnalité du caricaturé est ouverte, plus la satire est acceptée. — (Hugues Lethierry, Rire en toutes lettres, 2001)
La circulation était fluide sur l’autoroute du Sud, et tous deux gardaient le silence. Il fallait briser la glace, se dit Jasselin au bout d’une demi-heure. — (Michel Houellebecq, La carte et le territoire, 2010, J’ai lu, pages 344-345)
Elle avait entendu quelqu’un venir, avait espéré un instant que ça ne soit pas un relou qui lui casserait les pieds en essayant de briser la glace, histoire de passer le temps. — (Cécile Hennerolles, Dites-moi des choses tendres, Éditions Eyrolles, 2019)
A.− Jeune fille, jeune femme japonaise. Quant à la mousmé, je la retrouve toujours la même, avec son beau chignon d’ébène vernie, sa ceinture à grandes coques, sa révérence et ses petits yeux si bridés qu’ils ne s’ouvrent plus (Loti, Trois. jeun. MmePrune,1905, p. 13).Petites japonaises qui se rendaient à la cueillette (…) les rieuses mousmés avec un gosse dans le dos, un râteau à la main et leur tablier de serpillière noué en forme de besace (Cendrars, Bourlinguer,1948, p. 358).
B.−Arg. Femme, maîtresse, fille facile. Les mousmées, qui marchaient [au music-hall] à la ristourne sur les bouteilles de champ’ (Le Breton, Rififi,1953, p. 35).Prononc. et Orth. : [musme]. Rob., Lar. Lang. fr. : -mé, -mée. Supra Le Breton et Arnoux, Paris, 1939, p. 305 : -mée. Étymol. et Hist. 1887 (Loti, MmeChrys., p. 74). Transcr. du japonais musume « jeune fille ou jeune femme » (FEW t. 20, p. 105b).
Marcel Proust cite ce mot entre guillemets dans Le Côté de Guermantes : « De toute évidence quand j’avais connu Albertine, le mot de “mousmé” lui était inconnu. »
Thierry Laget et Brian Rogers commentent ce passage ainsi dans les notes :
« C’est Loti qui introduisit ce mot en France : “Mousmé est un mot qui signifie jeune fille ou très jeune femme. C’est un des plus jolis mots de la langue nippone ; il semble qu’il y ait, dans ce mot, de la moue (de la petite moue gentille et drôle comme elles en font) et surtout de la frimousse (de la frimousse chiffonnée comme est la leur). Je l’emploierai souvent, n’en connaissant aucun en français qui le vaille.” (Madame Chrysanthème, 1887, chap. XI). »