Une petite chatte, nommé Midas, et originaire de Turquie, fait un carton sur Instagram. Cette Bleu Russe de quatre mois, a en effet la particularité d’être née avec… quatre oreilles en raison d’une mutation génétique. Elle possède ainsi une paire d’oreilles « normale » et une autre, plus petite, qui dépasse à l’avant.
Comme le rapporte Le Daily Mail, la maîtresse de la petite chatte a expliqué que Midas avait été examinée par un vétérinaire et pouvait parfaitement entendre. En bonne santé, elle devra cependant subir d’autres contrôles dans quelques mois pour s’assurer qu’aucune autre mutation génétique n’est détectée dans son corps. source : ladepeche.fr
les négresses vertes est un groupe de rock alternatif français. Il est formé en 1987 par des musiciens issus pour certains du punk rock. Leur musique allie le style guinguette aux musiques méditerranéennes. Ils évolueront ensuite vers la musique électronique. Wikipédia
à l’Ouest le linge est plus blanc – Patrick Piel, Gamma-Rapho via Getty Images, History Extra, mur de Berlin, 1985-1986
La RDA voulait désespérément mettre un terme à cette soi-disant «fuite des cerveaux», c’est pourquoi en août 1961, les communistes est-allemands ont reçu le feu vert de Moscou pour fermer la frontière et construire une barrière physique. Le mur de Berlin a renversé la fonction habituelle des murs – empêcher les gens d’entrer -; ce mur était uniquement destiné à retenir ses citoyens.
Le mur de Berlin n’était pas un mur, mais deux. Mesurant 155 kilomètres (96 miles) de long et quatre mètres (13 pieds) de haut, ces murs étaient séparés par un couloir de terre fortement gardé et miné connu sous le nom de «bande de la mort».
Il était sous la surveillance constante de gardes-frontières armés est-allemands qui étaient autorisés à tirer sur quiconque tentait de s’échapper à Berlin-Ouest. En 1989, le mur était bordé de 302 tours de guet. Plus de 100 personnes sont mortes en tentant de traverser le mur de Berlin au cours de ses 28 ans d’histoire. source : photoshistoriques.info
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la main de l’homme – Sylvia Plath, Ontario, Canada, 1959
Sylvia Plath, née le 27 octobre 1932 à Jamaica Plain, dans la banlieue de Boston, et morte le 11 février 1963 à Primrose Hill, est une écrivaine et poétesse américaine, autrice de poèmes, d’un roman, de nouvelles, de livres pour enfants et d’essais. Wikipédia
ça va être à moi – Lusha Nelson : Actor Peter Lorre Posing Against A Wall, January 1st, 1936
Parmi les passionnés de photographie, l’énigmatique et aux multiples talents Lusha Nelson est le moderniste oublié. Dans les années 1930, il réalise des portraits pour Vanity Fair , des séries mode pour Vogue, ainsi que des natures mortes, des scènes de rue et des publicités sur papier glacé avec un aplomb égal. Émigré letton, il était venu à New York à l’adolescence avec des aspirations artistiques, pour faire des petits boulots (y compris un passage en tant que sous-chef dans les Catskills) avant de refléter son mentor, Edward Steichen, et de choisir la caméra. La toile. Bien que pratiquement inconnu, Nelson est rapidement devenu un favori de Steichen et d’Alfred Stieglitz, les faiseurs de rois de la photographie en titre, pour son style audacieux et tranchant et son approche authentique. (Nelson abhorrait la retouche.) Steichen, alors photographe en chef de Condé Nast Publications, prit Nelson sous son aile, et le jeune artiste réalisa bientôt des portraits saisissants de stars hollywoodiennes comme Katharine Hepburn et Fay Wray, et des athlètes d’élite tels que le boxeur poids lourd Joe Louis et le sprinter Jesse Owens avant d’embarrasser Hitler aux Jeux olympiques de Berlin. Puis, en 1938, à peine 6 ans après le début d’une carrière prometteuse, Nelson, âgé de 30 ans, mourut d’un lymphome de Hodgkin, consignant son héritage à une note de bas de page photographique. source : vanityfair.com
La très grande diversité des religions en Afrique est méconnue aujourd’hui du grand public. C’est de ce constat qu’est né l’idée de l’exposition « Afrique, les religions de l’extase » qui a ouvert ses portes le 3 juin 2022 à l’abbaye de Daoulas (Finistère). Car nombre de pratiques cultuelles africaines, pratiquées également dans les Amériques et en Europe par les diasporas, vise à atteindre l’extase : soit une expérience des croyants qui consiste à accueillir en eux le divin, à sortir de soi et du monde, en passant bien souvent par des expériences de transe et d’altération de la conscience. « Le point commun des pratiques présentées, c’est la forme extatique, qu’elle soit obtenue par les prières, le jeûne ou l’alcool, explique l’anthropologue belge Boris Wastiau, commissaire de l’exposition inspirée de son travail de thèse mené dans les années 1990 et au début des années 2000. Elle est très majoritairement présente dans les religions africaines, y compris chrétiennes. Cela demeure contemporain et est désormais pratiqué un peu partout dans le monde ». source : sciencesetavenir.fr