la piscine – Jacques Deray, Alain Delon, Romy Schneider, Natassja Kinski, 1969
Jean-Paul et Marianne forment un couple idéal et coulent des jours heureux dans leur villa de Saint-Tropez, jusqu’au jour où arrive Harry, au bras de sa fille l’incendiaire Pénélope. Ancien amant de Marianne, l’homme trouble cette vie tranquille. La tension monte. allocine.fr
Christophe Pautrat : Pas dans la piscine !
Inter Brette : effectivement, elle n’est pas à proprement parler « dans » la piscine mais plutôt « sur le bord ». merci de vos commentaires et de votre souci de la précision
Le capot est un élément de l’avant de la carrosserie d’un véhicule automobile. Il recouvre et protège le moteur quand il est à l’avant, ou le coffre à bagages quand le moteur est à l’arrière. Wikipédia
ce qui compte c’est l’amour – Nicolas Le Bault : La dimension perdue
« Nicolas Le Bault est un auteur et artiste visuel français né en 1986, s’exprimant principalement par la voie du dessin. Il réalise également des bandes dessinées dans lesquelles s’incarnent des thèmes souvent marginalisés, comme la violence, les névroses familiales, l’automutilation, l’anorexie, l’inceste, la vie intime et la sexualité, les relations ambivalentes et toxiques entre les êtres… dans une ambiance à la fois trouble et enfantine, souvent imprévisible et cauchemardesque. Inspiré par la psychanalyse et par les sciences sociales, ainsi que par toutes les formes de la culture populaire, il est également auteur de textes qui mêlent critique sociale radicale et réflexion esthétique. Il dirige depuis fin 2017 la maison d’édition indépendante White Rabbit Prod et le magazine d’art contemporain et de transgression White Rabbit Dream, à travers lesquels il défend sa vision de l’art comme vecteur d’émancipation individuelle et collective, et comme réponse esthétique au malaise dans la civilisation. « Autant dire tout de suite que l’on aime ou que l’on déteste cet imaginaire fait de rêves, de cauchemars, d’illusions, de fantômes, de perversions et de personnages ambivalents. En tout cas, la patte de Nicolas Le Bault est reconnaissable entre toutes : dessins tout droit sortis de l’enfance, visages expressifs, couleurs vives. L’univers de l’enfance est récupéré, recyclé et dynamité à la TNT afin de mettre à nu toute la cruauté du monde et son absurdité. » (Bruno Chiron) » source : nicolaslebault.com
« Les explorations de Phillip Dvorak sont enracinées dans les possibilités érotiques, subconscientes et émotionnelles du corps humain. Quelle que soit la forme, Dvorak invite le spectateur dans un univers intensément anthropomorphique. La biologie de ses dessins au fusain et au pastel peut parfois se concentrer si intensément sur le corps humain qu’il devient microscopique. Le spectateur trouve des structures cellulaires, des organites et d’étranges protubérances ressemblant à des cheveux s’engageant dans une frénésie active à travers la surface du papier. L’effet est positivement sexuel. — RF
J’explore la forme humaine : l’extérieur et l’intérieur, le réel et l’imaginaire, l’effrayant et l’érotique. Je n’ai rien trouvé de plus stimulant, provocant ou gratifiant que cela.
faut-il lutter contre la podophilie ? Horst P Horst : Barefoot Beauty, 1941
Sigmund Freud y voyait un symbole phallique (le fétiche, agissant comme un simulacre, faisant écran à une crainte de castration), mais le neuro-scientifique Vilanayar Ramachandran, qui dirige le centre du cerveau à l’Université de California, située à San Diego, a trouvé d’autres explications. En explorant les réactions du cerveau chez des personnes amputées, le docteur Ramachandran semble avoir résolu le mystère de la podophilie. Après avoir publié une étude sur les dysfonctionnements du cerveau conduisant au syndrome du membre fantôme (les amputés sentent leur membre manquant comme s’ils étaient encore attachés à leurs corps), un homme qui avait perdu sa jambe, lui a raconté avec beaucoup d’embarras, qu’il ressentait du plaisir sexuel là où son pied n’était plus: « à chaque fois que j’ai des rapports sexuels, depuis 2 mois que j’ai perdu ma jambe, j’ai des sensations dans mon pied fantôme, je sens mon orgasme dans le pied. Mes orgasmes sont bien plus grands qu’avant, parce qu’ils ne se limitent plus à mes parties génitales ».
Cela a été une révélation pour Ramachandran. Les parties du cerveau qui ont à voir avec le sexe sont, comme celles qui ont à voir avec les pieds, dans le cortex sensoriel. Pour lui, cela fait tout à fait sens qu’il y ait un chevauchement entre les deux et qu’ainsi le pied puisse également être une zone érogène. Ainsi existe également la probabilité que toutes les personnes dites « normales » aiment que l’on s’occupe de leurs pieds pour les mêmes raisons.
Le fétichisme des pieds remonte à loin: les premières traces dans l’histoire remontent à 1000 ans avant Jésus-Christ, on le trouve en Egypte comme chez les Arabes et les Romains (ces derniers interdisaient aux prostituées de porter des chaussures). Et au dire de certains historiens, la pratique grandit à chaque fois que surviennent des épidémies de maladies sexuellement transmissibles: aux XIIe, XVIe et XIXe siècle, avec la gonorrhée et la syphilis, et à nouveau au début des années 80, avec le sida.
Pour le chercheur James Giannini de l’université d’État de l’Ohio (USA), l’émancipation féminine aurait également eu un impact sur les désirs de pieds, reflets d’une posture où la femme est dominante. Sigmund Freud avait déjà suggéré, en son temps, l’existence d’un lien entre l’intérêt sexuel pour les pieds et la soumission. Rien ne semble le contredire aujourd’hui, car sur Internet, les sites spécialisés font corréler l’érotisme du pied, et l’érotisme de la femme dominante avec un homme soumis. source : huffingtonpost.fr
autres publications bretzel liquide taguées Horst P Horst
Jean Gabin, Michèle Morgan, Le Quai des brumes, Marcel Carné, 1938
La poésie désenchantée du tandem Carné-Prévert, les décors nocturnes et embrumés d’Alexandre Trauner, l’atmosphère onirique des images d’Eugen Schüfftan.
La Royal Society of Chemistry recommande de boire du thé entre 60 et 65 degrés, tandis que l’Université de Northumbria indique que la température idéale pour boire son thé serait entre 48 et 60 degrés. Pour cela, il vous faudrait attendre seulement 6 minutes après avoir versé l’eau bouillante, pour que votre thé ait le temps de refroidir.
En 2016, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait déjà alerté sur les dangers des boissons trop chaudes. Au-delà de 65 degrés, le thé ou le café sont dans tous les cas dangereux pour notre oesophage.
L’Agence Internationale pour la Recherche sur le Cancer a également indiqué qu’il n’y avait aucune preuve que c’était le thé ou le café responsable des cancers, mais plutôt la chaleur de la boisson. Le Docteur Christopher Wild, directeur de cette agence, explique : « Les résultats suggèrent que boire des boissons très chaudes est l’une des causes principales du cancer de l’oesophage. Peu importe la boisson, c’est la température qui porte préjudice à notre gorge ». source : terrafemina.com
tags : combien de temps faut-il pour refroidir une tasse de thé, comment refroidir une boisson chaude, Fernand Raynaud