comme j’aimais ces tours que nous faisions sur l’eau
Le Plongeon huard, aussi appelé le Plongeon imbrin en Europe, le Huard à collier au Canada ou le Richepaume en Acadie, est une espèce d’oiseaux de la famille des Gaviiformes. Il est de grande taille, bien qu’un peu plus petit que le Plongeon à bec blanc auquel il ressemble fort. Wikipédia
tu m’aimes toujours ? André Kertész, Marionnettes de Pilsner. 1929
Une marionnette est une figurine articulée ou non, en bois, carton ou toutes autres sortes de matériaux, manipulée par une ou plusieurs personnes, traditionnellement cachées dans un castelet. Wikipédia
si malheureux est l’amant invoquant des baisers dont il ignore la saveur, mille fois plus malheureux est celui qui a à peine goûté cette saveur et en a été privé
Lucien est un jeune poète inconnu dans la France du XIXe siècle. Il nourrit de grands espoirs et veut forger son destin. Il quitte l’imprimerie familiale de sa province natale pour tenter sa chance à Paris au bras de sa protectrice des arts. Rapidement livré à lui-même dans cette ville fabuleuse, le jeune homme va découvrir les coulisses de ce monde voué à la loi du profit et du faux-semblant. roman d’Honoré de Balzac publié en trois parties entre 1837 et 1843
Le photographe et artiste japonais Haruhiko Kawaguchi enveloppe les couples, les familles, les structures et les véhicules dans des sacs en plastique scellés pour représenter la connexion et l’unité.
« Je veux exprimer l’amour à travers mon travail, car tout dans le monde est basé sur l’amour. »
« Les gens qui s’aiment sont instinctivement attirés l’un vers l’autre et ils espèrent le devenir. Pour représenter ce pouvoir de l’amour, j’ai photographié des couples scellés sous vide – un projet que j’ai appelé « Flesh Love Returns ».
Pour cela, j’ai photographié les couples à leurs endroits les plus importants. Ils ont décidé de l’emplacement et j’ai décidé du meilleur angle là-bas. Certains couples ont choisi leur propre chambre, certains choisissent le lieu de travail où ils se sont rencontrés pour la première fois et certains ont choisi un restaurant où ils ont eu leur tout premier rendez-vous. source : theinspirationgrid.com
résister à l’envahisseur – un étranger dans mon jardin
commentaire fait dans un groupe : « ce mâle cherche à s’accoupler , il ne lutte pas contre un envahisseur ». Je me disais aussi qu’il courait étonnamment vite. Par ailleurs, s’accoupler avec l’envahisseur comporte toujours des risques.
Marc Olivier Cléry : Jackie Raspaud Il ne cherche pas à s’accoupler avec une chaussure. C’est un comportement territorial fréquent chez les mâles.
Inter Brette : Marc Olivier Cléry oui, moi-même, j’ai tendance à marcher sur les pieds de mes rivaux potentiels
Marc Olivier Cléry : Inter Brette Ce genre de mâle si vous allez dans son enclos en tongues il vous mord les orteils.
Inter Brette : Marc Olivier Cléry c’est une excellente idée, je pense essayer
David et Goliath / Ukraine / un village peuplé d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur / résistance / fables de Jean de la Fontaine : le Lièvre est la tortue / invasion / attention, tortue méchante
Dieu est une image… Nietzsche s’exprime presque toujours de façon imaginée, il en joue avec brio, « Dieu » veut dire quelque chose qui possède une épaisseur philosophique. Pourquoi choisir ce mot ? Dieu représente le sacré, ce qu’on vénère, ce qu’on a plus de précieux quand on est croyant, ce qui constitue la norme indiscutable, objective, de l’existence, et c’est précisément cela que Nietzsche emprunte à la notion de Dieu pour le transporter à l’ensemble de la vie humaine… Par Dieu, il va désigner ces choses qui sont le sacré, les croyances fondamentales, capitales, réglant la vie humaine telle qu’elle est organisée en Occident. Nietzsche nous dit que ce qu’il y a de sacré, d’intouchable (ce qu’il va appeler techniquement des « valeurs » quand il s’adressera aux philosophes), ces valeurs sont en crise, et même, en train de perdre leur statut de valeurs, de normes, de références… source : France Culture
tags : Jésus, la chute des idoles
Andre Baraglioli : Il va moins bien marcher, maintenant…