Le lion est mort ce soir Plus de rage, plus de carnage Le lion est mort ce soir
Gabriel Alix (1930-1998) — Two Panthers [acrylic on canvas, 1979] / Henri Salvador (youtube)
Gabriel Alix était un peintre haïtien. Originaire de Saint-Marc, Alix était membre du Centre d’Art et peignait des natures mortes, des sujets religieux et des animaux. Wikipédia
La mini-vague est un procédé chimique qui permet de créer et de fixer des ondulations sur les cheveux, même les plus fins et les plus lisses. Pour la réaliser, il est impératif de se rendre chez un coiffeur professionnel. Celui-ci va commencer par préparer vos cheveux en les lavant puis en appliquant un produit protecteur qui va permettre de protéger la fibre capillaire et de la nourrir en profondeur. Car la mini-vague sur cheveux fins et raides peut se révéler particulièrement agressive sans aucune précaution préalable. Votre coiffeur va ensuite enrouler les mèches de cheveux dans des rouleaux semblables à ceux utilisés pour une permanente. Il applique alors le produit à base d’ammoniaque et d’eau oxygénée qui va permettre de créer les boucles. source : schwarzkopf.fr
Aykut Aydogdu est né en 1986 à Ankara – Turquie. Il a commencé à étudier les beaux-arts au lycée et est diplômé de la faculté des beaux-arts – design graphique. Il a divers travaux sur des illustrations commerciales, des couvertures de magazines, des affiches de films. Ses œuvres figuratives surréalistes sont principalement concentrées sur les dilemmes de la vie quotidienne.
autres publications bretzel liquide taguées Aykut Aydogdu
la nostalgie du plastique – Dylan Martinez : sacs en plastique hyperréalistes remplis d’eau entièrement fabriqués en verre
L’œuvre de Dylan explore les limites de la perception humaine à travers la manipulation de la lumière, de l’espace et des propriétés physiques du verre. La fascination de Dylan pour le verre a commencé comme cours facultatif à l’université après avoir suivi un cours d’introduction à l’art. Martinez a étudié les sciences physiques pour sa majeure et son éducation en plein air en tant que mineure. Sa curiosité pour le monde naturel et les subtilités de son fonctionnement le fascinaient. Comprendre comment contrôler le verre en fusion est devenu un objectif majeur pendant plusieurs années de sa pratique.
Javier Ruiz (Jaén, 1989) a commencé à étudier le design graphique à Jaén en 2007. En 2013, il a étudié les études supérieures en illustration à Madrid. En 2014, il suit un atelier de peinture et de théorie des couleurs à Los Angeles (USA).
Il arrive un moment dans la carrière d’un peintre réaliste où il décide de la forme que prendra son discours, ou plutôt de son équidistance avec la tradition sur laquelle il se fonde. Pour Javier Ruiz Perez, cette identité a emprunté différentes voies, comme l’art urbain ou la figuration au sens strict. Or, cette vision du monde nous vient avec des nuances, comme un subtil renoncement au détail au profit d’un coup de pinceau expressif engagé dans le quotidien.
Disons que l’approche de la réalité de Javier ressemble à l’idée du cercle herméneutique, d’appréhender la totalité à partir d’un détail que nous comprenons grâce à cette même totalité. Ce sont les petits traits et les attitudes quotidiennes de ses personnages qui marquent le dialogue avec un tout qui, à première vue, pourrait nous sembler étranger.
Les peintures de Javier regorgent de non-lieux, de champs nus, de plateaux où l’âme humaine est réduite à une expression minimale. Ainsi, ses protagonistes travaillent, jouent et existent sans répondre aux raisons qui les ont conduits dans de tels lieux. La décontextualisation est importante, puisqu’elle met en évidence les traits qui donnent du caractère à l’œuvre, qu’il s’agisse de l’élimination des codes vestimentaires ou de l’ajout d’objets et d’attitudes d’une nécessaire disparité.
La peinture de Javier Ruiz est un dialogue sur les relations humaines, de petites histoires personnelles qui dialoguent avec des macro-structures universelles. C’est dans ce passage entre le banal et le sublime que Javier arrête le temps et se met au travail. Dans ce monde en transition, il bénéficie d’un large regard sur les idées qui le précèdent et sur celles qu’il souhaite concrétiser. source : victorlope.com
« Les risques sanitaires sont aussi plus grands pour les femmes que pour les hommes », écrit le quotidien britannique The Guardian. L’hypothèse que la canicule tue davantage les femmes est relativement récente.
Risque sanitaire plus grands pour les femmes âgées
Elle avait connu une première illustration en France en 2003. « Quand on observe des populations dans différentes tranches d’âges, on constate que durant cet épisode caniculaire le taux de mortalité chez les femmes était en moyenne 15 % plus élevé que chez les hommes », ont écrit des chercheurs néerlandais qui, dans un article publié en 2018, ont analysé une soixantaine d’études entre 2000 et 2016 s’intéressant à la mortalité pendant les canicules.
Une autre étude, toujours menée aux Pays-Bas en 2021, affine un peu ce constat. En s’intéressant au taux de mortalité lié à des températures extrêmes dans le pays, les scientifiques de l’université d’Amsterdam ont constaté que l’écart entre le nombre de décès chez les hommes et les femmes pendant les périodes les plus chaudes augmentait avec l’âge, surtout après 65 ans.
Moins de transpiration et une plus longue longévité ?
Mais « je pense que les facteurs sociaux et environnementaux jouent un rôle tout aussi important pour expliquer cette surmortalité féminine », assure Ilan Kelman, spécialiste des questions de santé à l’University College de Londres (UCL) qui travaille sur l’impact sanitaire des catastrophes naturelles. source : france24.com
les gens fuyaient les incendies – Michael Obermeyer, “Coast Highway Sunset”, gouache on paper
« En tant qu’illustrateur, j’ai toujours créé de l’art pour répondre aux besoins des autres. La peinture, cependant, m’offre la possibilité de créer pour moi-même, de permettre aux autres de voir comment je perçois la vie autour de moi et de m’évader totalement du monde réel pendant un certain temps. J’aime peindre à l’extérieur et travailler rapidement. Cela garde mes peintures fraîches et spontanées. J’aime particulièrement peindre autant d’espaces ouverts que possible, car ils semblent disparaître rapidement.
Lorsque je peins à l’extérieur, en plein air, je dois travailler rapidement en raison de la lumière changeante. J’ai donc une palette limitée de quatre à sept couleurs. Cette disposition ordonnée me permet également de mélanger des couleurs nettes et fraîches.