la vie avait défilé derrière mes lunettes – Memento mori by xeronimo
WeavingWithAI @GanWeaving
comment rester zen après la mort ? Lisa Luree
La peinture de Lisa Luree va des squelettes qui sont sa marque aux créatures fantastiques et aux nus. Elle éclaircit les sujets plus sombres avec des couleurs vibrantes et des pigments irisés qui captent la lumière de manière ludique. Parfois, les pièces sont soigneusement planifiées, mais Luree embrasse également le processus impromptu – laissant les images se former au fur et à mesure. Elle croit que laisser libre cours à la créativité permet à un artiste d’exploiter l’inconscient collectif et d’attirer le symbolisme archétypal dans l’art. source : valkariefineart.com
autres publications taguées Lisa Luree
la robe oubliée – Jan L. Waldron
le royaume des cieux – Lui Liu 刘溢 (Chinese, 1957)
la repentie – Joyce Lee : Prayer 3
tags : dimanche, communion, nonne, pécheresse repentie, piercing, ostie, Marie
sortir des eaux – Giorgio Butini (né à Florence en 1965), ombre (ardoise)
les trompes de la renommée – Georgia O’Keeffe with her sculpture “Abstraction”
la mort au tournant – Grant Wood : Death on the Ridge Road. 1935
Grant DeVolson Wood, né le 13 février 1891 à Anamosa dans l’Iowa et mort le 12 février 1942 à Iowa City, est un peintre américain. Il est surtout connu pour ses peintures réalistes de la vie rurale du Midwest. C’est l’une des figures principales de l’école régionaliste américaine qui se développe dans les années 1930. Wikipédia
bien dégagé autour des oreilles – Lui Liu 刘溢
Lui Liu est né en mars 1957 dans le nord de la Chine et est arrivé au Canada en 1991. Parlant couramment le chinois et l’anglais, Lui Liu possède de superbes techniques picturales, sa langue unique qui trouve un large public dans le monde entier. Son acquisition de techniques a commencé pendant la Révolution culturelle chinoise alors qu’il était un jeune garçon peignant des affiches dans les rues et s’est poursuivie dans la plus prestigieuse Académie centrale des beaux-arts de Pékin.
À travers ses peintures, Lui Liu crée un monde surréaliste qui transcende les cultures et les espaces. Grandir en Chine et vivre dans l’ouest lui confèrent un double rôle d’initié et d’étranger des deux mondes et lui permettent de « se tenir seul face à l’est et à l’ouest, comme il l’entend », a écrit Barry Callaghan, un écrivain canadien de renom. source : Lui Liu
autre publication taguée Lui Liu
la machination 14 – Honeybee Art