l’amour l’après-midi
tags : Rhett Hammersmith, La Femme guêpe (The Wasp Woman) Jim Wynorski, 1995, j’ai encore rêvé qu’elle me faisait l’amour
L’après-midi, quand il faisait beau, elle me faisait l’amour
la longue chevelure des nageuses
« Le terme méduse est un nom vernaculaire désignant les nageuses de formes libres de nombreux groupes de cnidaires et qui s’opposent donc aux formes polypes, sessiles. En apparence, ces animaux gélatineux sont très frustes. Ils sont dotés de cheveux mais dépourvus de squelette, de cerveau et de poumon mais, en réalité, leur structure est complexe, et ils peuvent posséder des structures sensorielles très élaborées comme des ocelles, rassemblées au sein de rhopalies ». source Wikipedia
range ta chambre – Marc Le Mené – Chambre mentale (mental camera)
La série des Chambres Mentales a été commencée par Marc Le Mené en 1996 et se poursuit jusqu’à aujourd’hui. En vingt ans s’est ainsi constitué un ensemble de 250 photographies.
La « chambre mentale » désignée par Marc Le Mené est la chambre photographique, qui devient elle-même relais de la boîte crânienne où s’inventent les images qu’elle capte. Le motif de la boîte et plus largement de l’espace clos est devenu son terrain d’élection dans lequel il met en scène des compositions et situations à la teneur surréaliste. source : paris-art
Marc Le Mené, le 27 février 2022 : « J’en suis à 320 numéros… Et c’est pas fini …. »
tag : le dictateur, globe terrestre
l’arbitrage international – Nils Jorgensen
L’arbitrage est un mode alternatif de règlement des conflits par lequel des parties conviennent de soumettre leur différend à un tribunal arbitral généralement composé de 1 ou 3 arbitres de touche. L’arbitre rend une sentence qui s’impose aux parties sous réserve du respect de certaines conditions. source : Wikipedia
le site du photographe Nils Jorgensen
autres publications bretzel liquide taguées Nils Jorgensen
c’est une pie, enculé : c’est un arpietre, enculé
peace and love – Joe Simboli, 1968, vintage peace poster
Joe Simboli a conçu un ensemble d’affiches war/peace en 1968 en réponse à un appel d’Herb Lubalin, un directeur artistique bien connu de New York pour le magazine Avant Garde, qui parrainait un concours « No More War ».
Peace and love est une expression de la langue anglaise signifiant « paix et amour », employée comme signe de reconnaissance dans les années 1960 par les hippies, et à laquelle est associé le symbole de la paix ☮, qui fut employé sur de nombreuses bannières mais surtout sur pléthore de T-shirts portés par les hippies ou plus généralement par la « génération Woodstock » – T-shirts qui ont fait sensation de par leur facilité de personnalisation et leur simplicité d’usage – pour protester contre l’armement nucléaire, contre la guerre du Vietnam ou encore afin d’exprimer leur volonté d’un avenir sain sans pollution. source : Wikipedia
c’est une pie, enculé : pie sand love, bro
pourtant il a fait beau – Nobuhiko Ôbayashi, Emotion, 1966 – tu te souviens des jours d’été et tu pleures
« Qui est Nobuhiko Obayashi, cet auteur culte dans son pays mais dont aucun film n’a franchi nos frontières ? Au Japon, dans les années 80, il est perçu comme le maître du film seishun, littéralement « printemps de la vie », soit le film d’apprentissage adolescent. Son cinéma se confond avec la période d’opulence d’un Japon à l’économie victorieuse, ayant renoncé à toute contestation pour s’enivrer dans la consommation. Cet infantilisme, Chris Marker s’en amuse dans Sans soleil : « Aujourd’hui ce sont les petites filles qui font et défont les modes et les patrons des maisons de disques tremblent devant elles. » La figure majeure de ce cinéma est en effet l’adolescente, ce qui permit aux studios de capitaliser sur les idolu, ces chanteuses rose-bonbon envahissant les magazines et les émissions de variété. Les films seishun des années 80 sont-ils simplement mercantiles et opportunistes, ce qui expliquerait pendant longtemps l’indifférence de la cinéphilie japonaise à leur égard ? Explorer la décennie révèle pourtant des trésors cachés, de véritables auteurs et des comédiens loin d’être de simples poupées. Rappelant les distorsions que Jean-Christophe Averty faisait subir aux chanteurs yéyés, Obayashi pousse le style pop de l’époque à son paroxysme, projetant ses jeunes interprètes dans des mondes en folie. Dans la chambre de l’adolescente de The Girl Who Leapt Through Time est accrochée l’affiche du Magicien d’Oz, inspiration du cinéaste pour les passages du noir et blanc à la couleur et les trucages artisanaux, mais surtout comme parcours d’une adolescente dans un monde parallèle. Obayashi n’est pas dupe et au consumérisme des années 80, il oppose la poésie des villes de provinces et des vieux quartiers de Tokyo et l’aventure qui est toujours au coin de la rue. » lire l’article sur stephanedumesnildot2
autres publications bretzel liquide taguées Nobuhiko Ôbayashi
soutiens-moi / Florence Poullain : Salvador Dali, Femme à la tête de roses, 1981
« L’utilisation par Dalí de la fleur de rose dans son art a traversé de nombreux médiums différents. Dans la sculpture en bronze d’Alice au pays des merveilles (conçue en 1977), les mains et les cheveux de la femme se sont épanouis en roses symbolisant la beauté féminine et la jeunesse éternelle.
Dans la sculpture de Dalí, Woman of Time, (conçue en 1973), la figure féminine tient une rose parfaitement formée sur une tige, l’horloge qu’elle a drapée sur son bras fait allusion à la prise de conscience que la beauté peut être indépendante du temps. Dalí a souvent représenté la figure féminine avec une tête non pas de cheveux, mais comme un bouquet de roses, pour symboliser éventuellement leur sexualité latente, comme dans la sculpture « Hommage à la mode » . (conçu en 1971)
Dalí a peint une rose parfaite dans son tableau de 1958 « La rose méditative ». L’image est un paradoxe visuel, base fondamentale du surréalisme, la rose semble « flotter » dans le ciel, méditant au-dessus de deux minuscules personnages, rappelant Jean François Millets L’Angélus’ ,(1856), l’un des favoris de Dalí peintures. L’un des pétales est recouvert d’une goutte d’eau, créant un effet tridimensionnel lumineux.
Ici, Dalí utilise la technique du trompe-l’œil pour tromper le spectateur ; en fait, la rose semble avoir de la profondeur dans la peinture, contrastant avec le ciel bleu uni dans lequel elle se trouve, conduisant à un incroyable effet tridimensionnel.
Une autre sculpture en bronze de Dalí qui encapsule la figure féminine avec la tête de roses est, Femme a La Tete de Rose . (1981). Haute de deux mètres, cette sculpture surréaliste rend une fois de plus évidente l’obsession continue de Dalí pour le symbole des béquilles. La Femme à La Tête de Roses se tient sur deux béquilles, une plus longue (s’élevant de la base) soutenant son bras droit. Sur son bras gauche sont positionnés plusieurs doigts de deux mains désincarnées, qui la maintiennent fermement. La partie supérieure de la sculpture est une figure phytomorphe, la tête entière devenant un bouquet fleuri d’où s’élève une corne, donnant une dimension animale à la figure. Dalí représente toujours des personnages ancrés dans la fantaisie, qui, à leur tour, prennent des significations différentes lorsqu’ils sont assemblés avec des objets extérieurs et incongrus ». source : Daliuniverse
« Plusieurs sujets de prédilections se dégagent de son œuvre : la nature, les paysages, les êtres vivants du plus petit au plus grand, le graphisme … Les détails retiennent son attention : une couleur, une texture, une ambiance, une atmosphère … » à voir sur florence-poullain.fr
est un album-concept de Serge Gainsbourg de 1976, youtube
autres publications bretzel liquide taguées Florence Poullain
demain c’est la Journée mondiale de l’anosmie
La perte de l’odorat est un handicap sensoriel invisible aux conséquences importantes. Association Anosmie.org
L’anosmie, ou la perte d’odorat, est l’un des symptômes évocateurs d’une infection au Covid-19, que ce soit par le variant Omicron ou autre. Elle peut persister plusieurs mois Quelle est la définition exacte ? Quelle est la durée des symptômes ? Le traitement ? Comment la distinguer d’un rhume ? source : journal des femmes
tag : Didier, sentir le cul