accusé – avez-vous frotté votre trou du cul sur mon appui-tête ?
You rubbed your butthole on my head rest ? dog arguing about
tags : la parole est à la défense, tribunal des flagrants, comparution immédiate
journée internationale des droits de la – en cinq lettres
Spellbound, la maison du docteur Edwardes, dir. Alfred Hitchcock, 1945
tags : mots croisés, lunettes
le cardeur américain est un film français de François Truffaut (durée : 15 minutes) de 1973 sur la crise de l’industrie textile aux Etats-Unis.
Ce film à la fibre sociale démèle la trame de l’histoire, celle d’une toile (à matelas) en train de se faire et comme tout art poétique, c’est un film sur ce qu’il est en train de faire, c’est un film sur le cinéma et un film de cinéma.
Dans « le cardeur américain », Truffaut voulait, par opposition au documentaire ouvrier, qu’il haïssait, faire une fiction qui était pour lui un mensonge organisé.
Hélène Frappat
« Les films sont comme des blue-jeans dans la nuit »
au secours c’est le 8 mars #balancetonporc
tout les machistes aux abris.
Sus domesticus est une sous-espèce de mammifères domestiques omnivores de la famille des Porcins, ou Suidés. Appelé porc (du latin porcus) ou cochon ou encore cochon domestique, il est resté proche du sanglier avec lequel il peut se croiser. (Wikipedia)
le plein d’essence
Face à cette flambée des prix, certains automobilistes changent leurs habitudes. Ainsi à Marseille, à la station service de l’hypermarché Grand Littoral, même si les prix sont encore contenus autour d’1,70 euro le litre, le passage à la pompe s’apparente à une torture. « On a les larmes aux yeux« , décrit Bruno, qui ne se sert plus de sa voiture que pour le travail et avoue limiter ses autres déplacements. Il fait le compte : « c’est 40 euros pour 25 litres ! Je vais à Martigues deux fois, je reviens et j’ai plus rien« . Laurent applique la même technique : « d’habitude je fais le plein, là je ne mets que 30 euros« , tandis qu’Edwige, son épouse, consulte une application qui signale les stations service les moins chères, « mais ce n’est pas toujours à jour« .
« Je mets dix euros, sinon je ne parviens pas à finir le mois. »
France Bleu
tag : colibri
veille de 9 mars – Lighting a cigarette while fixing a Triumph Tiger Cub scrambler, 1962
Elle portait des culottes, des bottes de moto
Un blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Sa moto qui partait comme un boulet de canon
Semait la terreur dans toute la région
Jamais elle ne se coiffait, jamais elle ne se lavait
Les ongles pleins de cambouis mais sur le biceps elle avait
Un tatouage avec un coeur bleu sur la peau blême
Et juste à l’intérieur, on lisait « Papa je t’aime »
Elle avait un petit ami du nom de Paul-Lou
On le prenait en pitié, un enfant de son âge
Car tout le monde savait bien qu’elle aimait entre tout
Sa chienne de moto bien davantage
la femme à la moto, Edith Piaf, youtube
solidarité, ma soeur – Vladimir Bazan, Louvre. Paris
Vladimir Bazan est né en 1953 en Russie. Trois ans plus tard, ses parents ont déménagé au Bélarus. Dès ce moment, sa vie et son destin seront indissolublement liés à Vitebsk. A l’âge de dix ans, il prend en main un appareil photo pour la première fois. Un petit événement dans la vie d’un enfant ? Mais il est devenu un signe. La carrière de BAZAN a commencé par un emploi de photographe dans une école de gymnastique sportive. En 1978, Uladzimir a terminé ses études à la Faculté d’Art Graphique de l’Institut Pédagogique. Ensuite, il a travaillé de nouveau comme photographe dans une usine de cartonnage et de polygraphie. Depuis 1980, il était photographe correspondant dans un journal à fort tirage « Constructeur », et collaborait avec les éditions républicaines et des éditions de toute l’URSS.
En parallèle, Uladzimir BAZAN prend d’assaut les sommets photographiques. Il participe aux expositions photographiques : « Venus » (Cracovie), « Homme et temps » (URSS), « Infoskanbaltik » (Rostok), « Photorire » (Gabrovo), «Santé pour tout le monde » (Genève), « Génération » (Paris), Word Press Photo, « Comment tu vis l’homme » (Vilnius). source : Vladimir Bazan
tag : 8 mars
laissez-moi vous expliquer ce qu’est le 8 mars, mademoiselle, vous avez droit à des éclaircissements.
Paul Delvaux (1897-1994) – L’école des savants, 1958
Paul Delvaux est un peintre post-impressionniste, expressionniste puis surréaliste belge.
Le mansplaining est un concept féministe né dans les années 2010 qui désigne une situation dans laquelle un homme explique à une femme quelque chose qu’elle sait déjà, voire dont elle est experte, souvent sur un ton paternaliste ou condescendant. (Wikipedia)
tag : journée internationale des droits de la femme
autres publications bretzel liquide taguées Paul Delvaux
journée internationale – Marco van Duyvendijk, Oana, 13 ans, Roumanie
S’il y a une chose qui distingue la photographie de Marco van Duyvendijk, c’est son utilisation flamboyante de la couleur. L’Europe de l’Est terne et grise ? Les steppes vides de Mongolie, nues et sans couleur ? Pas vu à travers le viseur de Van Duyvendijk ! Le photographe nous emmène vers l’est avec lui lors de ses voyages pour enregistrer un monde inattendu : le paysage déchiré par la guerre du Haut-Karabakh, les villes fascinantes de Chine, mais surtout les âmes des pays qu’il visite, exprimées dans ses portraits de visages. dans lequel les mondes antiques affrontent l’ère moderne. source : fotomuseumdenhaag.nl
Le site de Marco van Duyvendijk
prête pour le 8 mars ? Frank Horvat, 1976, Bahamas, for Glamour USA, illustration for exercise
Francesco Horvat dit Frank Horvat est un photographe français d’origine italienne, né le 28 avril 1928 à Abbazia et mort le 21 octobre 2020 à Boulogne-Billancourt. Sa rencontre avec Henri Cartier-Bresson en 1950 est déterminante pour la suite de son travail. source : Wikipedia
C’est en 1982, sous l’impulsion d’Yvette Roudy, ministre déléguée aux droits des femmes, que la France reconnaît le 8 mars comme Journée internationale des droits des femmes. source : vie-publique.fr
autres publications bretzel liquide taguées Frank Horvat