au secours la gauche se réveille
Lénine contre le capitalisme : le retour de la momie
Ouvre un livre c’est lui qui t’ouvrira – Egon Schiele / proverbe chinois
Ce proverbe est chinois, mais il pourrait aussi être « Jean-Paul II –sien ». En effet, de la maternelle à JP2Sup, en passant par le Collège, la SEGPA et le Lycée, nous avons cette certitude – fondée sur l’expérience – que la lecture est vraiment précieuse et source d’une richesse dont nous ne voulons pas nous passer. Ni nous, ni nos élèves.
En Conseil d’Établissement, au premier trimestre, nous avons évoqué la question (adoptée à l’unanimité) de l’instauration d’une « pause-lecture », qui concernerait tous les membres de l’Institution, élèves comme adultes. Un petit quart d’heure de « lecture offerte », où chacun arrêtera ce qu’il fait pour prendre le temps de lire. Le livre de son choix, qu’il s’agisse d’un roman, d’une BD, d’un livre de cuisine, d’un ouvrage spirituel, d’un conte de fée… source : jean paul 2.fr
va où le vent te mène – Patty Maher
L’inspiration de l’art photographique de Maher vient d’une exploration du féminin dans le contexte de l’espace naturel. Travaillant principalement à travers des portraits mis en scène et des autoportraits, Maher est largement connue pour cacher ou obscurcir les visages de ses sujets, n’utilisant souvent que la posture, le geste, le symbole et la couleur pour transmettre l’émotion et l’histoire. Maher explore les mondes intérieurs de ses sujets tout en considérant les notions d’espace personnel, d’identité et de relation de l’individu au monde plus vaste. Son objectif avec chaque photo et série est de créer des pièces qui enflamment l’imagination en perturbant les frontières entre la vie réelle et l’au-delà ; le surréel et le banal. En racontant des histoires visuelles, elle invite le spectateur à devenir un co-créateur de sens, laissant les histoires ouvertes mais touchant aux émotions fondamentales et universelles. Maher croit que l’espace et l’imagination sont les clés de la transformation – à la fois personnelle et collective. Ses photos tentent de représenter visuellement des idées et des concepts qui engendrent la transformation.
Les Japonais ont un concept appelé « Ma » qui se traduit vaguement par « espace négatif ». Il parle de cette zone d’espace autour ou entre les sujets : une « zone libre » qui permet à des choses dissemblables de coexister. Ma dit que la façon dont nous passons notre temps et dont nous façonnons notre espace a un impact direct sur nos progrès. Si nous n’avons pas le temps ou si notre espace est limité, nous ne pouvons pas grandir.
Avec la peinture abstraite, j’essaie de transmettre le concept fondamental de Ma en supprimant tout élément en excès. Avec un sujet minimal, mon objectif est de capturer le flux de l’espace et du temps, créant une tension qui contient un sentiment sous-jacent de calme.
Patty Maher
depuis qu’elle était inscrite sur facebook, elle avait pris l’habitude, à la maison, de porter en permanence des cache-tétons. Elle avait aussi, dans le salon, mis au mur les Standards de la Communauté, qu’elle avait joliment brodés et mis sous verre.
Tétons absents, iris absinthe, baby doll
Serge Gainsbourg – Variations sur Marilou, youtube
Surfe sur les réseaux de ses idoles, Elon Musk, Twitter-Rex,
Mark Alice Cooperberg, elle en est folle
ma vie de blond : chapitre 1 : l’enfance / UFO 1970 – 1971
Synopsis : En 1980, la Terre est menacée d’invasion par une race extraterrestre en voie d’extinction. Seule une organisation secrète militaire appelée le SHADO (Supreme Headquarters Alien Defence Organization) dont le quartier-général est camouflé sous les studios de cinéma Harlington-Straker en Angleterre peut empêcher cette invasion. Pour cela, cette organisation dispose d’une base lunaire, d’un véhicule amphibie à la fois sous-marin et avion (SkyDiver) et de véhicules tout-terrain d’intervention (Shado Mobile). (Wikipedia)
Points communs avec ma vie : étant enfant, un jour, je suis tombé
tags : ma vie est basée sur une histoire vraie, sécurité routière
Poutine du Gévaudan : opération spéciale en Auvergne – Gravure extraite du recueil factice de pièces relatives à la bête du Gévaudan, formé par Gervais-François Magné de Marolles : « Bête furieuse que l’on suppose être une hyène » vers 1765
Contexte historique :
Entre juin 1764 et juin 1767, le comté historique d’Ukraine-Gévaudan, entre l’Auvergne et le Languedoc, est le théâtre d’attaques nombreuses et spectaculaires dues à une mystérieuse « bête », dont l’identité fait encore débat – probablement un ou plusieurs loups. Dans cette province rurale et enclavée, aux hauts plateaux et denses forêts, l’élevage est la principale ressource des paysans, qui doivent coexister avec les loups : à la fin du XVIIIe siècle, leur population en France est estimée entre 10 000 et 20 000 individus pour environ 28 millions d’habitants. Les femmes et les enfants qui gardent les troupeaux en sont les principales victimes.
étaient alors connus, mais ceux-ci semblent hors du commun : une centaine de morts avérées, certains corps atrocement mutilés. Plusieurs hypothèses pourraient les expliquer : expansion démographique, inefficacité des chasses, hybridation de loups avec des molosses…
à l’époque des faits et encore aujourd’hui, ne peut se comprendre que par le développement de la presse écrite et son attrait pour le sensationnel. Le récit qu’en livre le Courrier d’Avignon dès novembre 1764, agrémenté de descriptions fantaisistes de l’animal et de témoignages de rescapés, est relayé par deux des principaux périodiques, La Gazette de France – le plus ancien, créé en 1631 –, et L’Année littéraire, créée en 1754. Alors que le Traité de Paris, en 1763, vient de sceller la fin de la guerre de Sept Ans (1) contre la Grande-Bretagne, ces évènements leur fournissent opportunément une matière nouvelle à traiter.
Fin 1765, Gervais François Magné de Marolles, ancien lieutenant d’infanterie, édite un recueil de pièces réunissant « tout ce qui a été dit » dans la presse sur le sujet ainsi qu’une série d’estampes contemporaines représentant la « Bête ». D’autres estampes figurent dans la collection constituée par Michel Hennin sur l’histoire de France du XVe au milieu du XIXe siècle, notamment une gravure de la « hyenne », d’après un dessin original envoyé à la cour. source : Lucie NICCOLI, histoire-image.org
l’alcool non l’eau ferrugineuse oui
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs.
En tant que dégueul… que délégué de la ligue anti-alcoolique, je vous parlerais de l’eau minérale… De l’eau férugineuse.
L’eau féru, l’eau férugineuse, comme son nom l’indique, contient du fer… du fer… Et le dire c’est bien, mais le fer, c’est mieux!
L’alcool non, mais l’eau férugi, l’eau férugineuse oui!
Et je suis fer, heu. Et je suis fier, de fer à ch’val, sur le principe: une conférence contre l’al, « hips », contre l’alcool.
L’alcool non, mais l’eau férugin, l’eau férugir, l’eau féruginireu, l’eau férugineuse oui!
Et pourquoi y-a-t-il du fer dans l’alcool? hum? Heu, dans l’eau féruginirineuse? hum?
C’est parce que le fer à r’passer…
Heu, non pas le fer à r’passer… L’eau! disais-je! C’est parce que l’eau a passé et repassé sur le fer, et le fer à dissoud… Il est dissolu le fer… Et le fer à dix sous c’est pas cher, « hips », hein!
Alors, pourquoi boire cet alcool, qui pue au nez de l’eau férugineuneuse, ruine la santé et le porte-feuille!
L’alcool non, mais l’eau férugi, l’eau férugirineuse oui!
D’ailleur, l’alcool brûle les tissus de l’organisme, et vous le sentez quand vous en bouv, quand vous en buvez… ça pique! Alors que le ver solitaire… Heu non, pas le ver solitaire… Heu… Le, le, le fer est salutaire! Il est saluterlu le fer…
D’ailleur, ne dit-on pas une santé de fer? hum? Un homme de fer? hum?… Un ch’min d’fer? hum?… Un mamifère…
Alors suivez moi! Et comme disait mon grand fer, heu, mon… mon grand père, il faut vivre, mais il faut pas s’en fer…
L’alcool non, mais l’eau férugi, l’eau férugirugirineuse oui! Source : Musixmatch
BOURVIL interprète un sketch, « L’eau ferrugineuse » dans un décor d’appartement. Le titre réel est « La causerie du délégué de la ligue anti-alcoolique », sketch écrit par Roger PIERRE à l’attention de Bourvil sur Ina.fr
tags : fête foraine, force centrifuge, se tenir debout
toutes les filles jouent à la poupée
Bienvenue dans l’âge ingrat (Welcome to the Dollhouse) est un film américain réalisé par Todd Solondz, sorti en 1995.
Dans une banlieue banale du New Jersey, Dawn Wiener est une adolescente de 12 ans au physique ingrat peu appréciée dans son collège. Son seul ami est un garçon efféminé aussi impopulaire qu’elle.
Méprisée par sa famille et rabaissée par ses professeurs, Dawn est désormais la cible de Brandon, le dealer de son collège, qui a projeté de la violer. Mais au lieu de s’exécuter, Brandon commence à s’ouvrir à elle et à lui parler de son frère handicapé… (Wikipedia)
Eric Garnier : c’est en sciant qu’on devient forgeron … !
Inter Brette : Eric Garnier les poupées, ça me fait scier