les gens sont heureux le dimanche – John Currin : Park City Grill, 2000, Walker Art Center
Ses tableaux, pas bien grands, atteignent des records aux enchères même s’ils affichent un style totalement en dehors des canons modernes, préférant user du kitsch, du nu provocant, du sexe bizarre et de sfumatos chers aux peintres classiques. C’est donc un néo-art décalé, un peu olé-olé : des scènes saphiques limite porno, des portraits de femmes à l’ambiance trouble et vaguement expressionniste. Une curiosité friponne et un art assez singulier.
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