les skieurs de fond
Le ski de fond est un sport d’hiver de la famille du ski nordique, populaire notamment en Europe du Nord, Canada, Russie ou l’Alaska. De ce sport, se sont développées d’autres disciplines telles que le saut à ski, le combiné nordique (combinaison du saut à ski et du ski de fond) et le biathlon (combinaison du tir à la carabine et du ski de fond). Ce sport se pratique sur des terrains plats ou vallonnés avec la présence de la neige.).
Les skis utilisées sont longs, étroits, ne possèdent pas de carres métalliques et sont fixés uniquement à l’avant du pied. Deux techniques de ski existent : la technique traditionnelle, dite « pas alternatif » (« classique »), qui consiste à avancer dans deux traces parallèles et depuis les années 1980 la technique du « pas de patineur » (« skating ») dont le style au niveau des jambes peut s’apparenter au roller ou au patin à glace. La surface de leur semelle est globalement plate, lisse sur toute sa longueur pour le ski de skating, et comprenant soit des écailles, soit une chambre à fart en son centre pour le ski de classique, afin de permettre la propulsion en avant. Le ski de fond skating est le sport nécessitant le plus fort VO2 max (puissance respiratoire), devant la course à pied, la natation et le cyclisme. source : Fédération Française de Ski
Mario Giacomelli
Naissance : 01.08.1925 à Senigallia, Italie Mort : 25.11.2000 Site web
L’homme qui est devenu peintre, poète et photographe a débuté sa vie professionnelle, en 1938, comme typographe dans une imprimerie. Pendant la guerre, il commence à peindre des compositions abstraites ainsi qu’à aimer la poésie. En 1952, nourri par ses lectures – Borges, Turoldo, Dickinson – et par la peinture de Nicolas de Staël et de Serge Poliakoff, Mario Giacomelli achète son premier appareil photo et crée son laboratoire de photographie.
En cinquante ans de carrière, ce disciple de Giuseppe Cavalli n’a cessé de s’intéresser à un monde en voie de disparition. Il regarde le paysage comme un artisan poète, gribouille ses photos, les donne aux gens pour qu’ils les accrochent chez eux. Du grand maître de la photographie italienne, on se souvient des vols de mouettes sur les plages des Marches, des rides et des dos courbés des vieillards de Scanno, des rondes étranges des séminaristes sur la neige et de ses images extrêmement contrastées de champs arides rongés par les sillons des machines agricoles.
La galerie Polka représente Mario Giacomelli depuis 2016.
tags : jeux olympiques, JO