l’amie du petit-déjeuner – Matteo Lucca, faces are made by bread (l’homme de pain / ceci est mon corps)
« … Vie et matière, idée et rêve, organique et inorganique, présent et passé, inconscient et ancestralité, réalité et artifice, mythe et mystère… Et vous obtenez un vague sentiment de perte, un sens inattendu et profond de la spiritualité comme si vous étiez spectateur d’un rite entre le sacré et le profane… »
la piscine – Jacques Deray, Alain Delon, Romy Schneider, Natassja Kinski, 1969
Jean-Paul et Marianne forment un couple idéal et coulent des jours heureux dans leur villa de Saint-Tropez, jusqu’au jour où arrive Harry, au bras de sa fille l’incendiaire Pénélope. Ancien amant de Marianne, l’homme trouble cette vie tranquille. La tension monte. allocine.fr
Christophe Pautrat : Pas dans la piscine !
Inter Brette : effectivement, elle n’est pas à proprement parler « dans » la piscine mais plutôt « sur le bord ». merci de vos commentaires et de votre souci de la précision
Parasite (synopsis) : La famille Kim, pauvre et au chômage, vit d’expédients dans un taudis en sous-sol. Un jour, le fils réussit, au moyen d’un faux diplôme, à se faire embaucher pour donner des cours d’anglais à la fille d’une famille richissime. C’est le début d’une succession d’événements qui vont rapprocher les deux familles. Wikipedia
tags : reine Elizabeth II, popularité, graffiti, opinion publique
prêt pour une nouvelle partie de croquet ? demanda Alice au flamant maillet sur le gazon de la reine de coeur. Vladimir Clavijo-Telepnev : Inès
Vladimir Clavijo-Telepnev, né en 1962 à Moscou, est l’un des photographes modernes les plus célèbres de Russie, qui a réussi à faire une carrière parfaite en étant fidèle à ses principes dans l’art et la vie. Ses œuvres sont généralement divisées en différentes séries. Il utilise différentes méthodes et styles, travaillant avec différents thèmes, mais toujours dans une palette monochrome, ajoutant des nuances de sépia et de couleurs faibles. Clavijo-Telepnev s’abstient délibérément d’utiliser les couleurs pour mettre davantage l’accent sur les lignes, les formes et la plasticité. Ses travaux photographiques sont généralement attirés par le rétro. Il aime faire des photos de paysages, une architecture de l’époque de Staline. Il a également créé une série de portraits d’artistes russes de l’art moderne. source : russia-ic.com
La relève de la garde se déroule devant le palais de Buckingham à partir de 10 h 45 et dure environ 45 minutes. La relève en soi a lieu à 11 h 00. L’ancienne garde du palais de Buckingham se rassemble dans l’avant-cour du palais à partir de 10 h 30. L’ancienne garde du palais Saint James la rejoint vers 10 h 45. La nouvelle garde arrive ensuite, en provenance des Wellington Barracks, et reprend les responsabilités de l’ancienne garde lors d’une cérémonie formelle en musique.
La garde qui surveille le palais de Buckingham s’appelle la garde de la Reine et se compose de soldats actifs issus de l’infanterie de la Household Division. Les gardes sont vêtus de tuniques rouges traditionnelles et de chapeaux en poils d’ours. source : visitlondon.com
la promenade du dimanche – Jerry Schatzberg : Pet Chicken, 1964
De Carlos Valladares : Schatzberg a commencé comme assistant photographe pour Bill Helburn, dont le studio était en diagonale en face du 333 Park Avenue South, où Schatzberg a créé son propre studio légendaire en 1956. Le long de ces quelques pâtés de maisons de Park Avenue South, les histoires de la photographie américaine, de la pop la musique, la mode, le cinéma, le théâtre, la littérature et le New York des années 1960 (de Max’s Kansas City à Elaine’s). Le Schatzberg Studio est devenu un véritable salon pour des dizaines de sommités qui ont été catapultées, grâce à l’objectif de Schatzberg, en icônes de l’époque. Dylan et Hendrix. Les Beatles et les Stones. Aretha Franklin et Sharon Tate. Et marque plus.
Le travail de Schatzberg sur la mode et le portrait au milieu du siècle n’est pas un simple reportage. Il révèle une sensibilité ludique, une élégance singulière, un trait d’humour sans prétention puisé dans les années où Schatzberg a grandi dans le Bronx. Ils trahissent la recherche inextinguible, presque maniaque, de Schatzberg pour le glamour, pour les lueurs qui élèvent les génies de son temps hors de leurs réalisations et dans un ordinaire pictural extraordinaire. Ses portraits sont imprégnés de cette charge de Rapport, cette harmonie mystérieuse entre l’artiste et le sujet qui fait ressortir le côté doux antisurface de ce dernier. Rapport schatzbergien – dont les éléments difficiles à cerner incluent l’ambulance, l’improvisation, l’extension de la scène au-delà d’un point final logique, apprendre à connaître un sujet pendant une heure avant même que la caméra ne soit formée sur lui, en considérant le sujet sous des angles fantastiquement obliques. source : jerryschatzberg.com