de la liberté d’expression
Norview High School Junior Cheerleaders practice in front of their school even though it was closed in an attempt to block integration, LIFE Magazine, Norfolk, Virginia, October of 1958
tag : manifestation
fin de semaine dans la civilisation – Alan Macdonald : the temple of reason
Alan Macdonald, 1962, Born in Malawi, Central Africa, 2003, Living and working in Carnoustie, Scotland
tags : week-end, manège
la leçon de piano – Kazuma Ogaeri : Moso, 2016
Kazuma Ogaeri est un photographe Moso. Il capte l’illusion
Dans son travail il y a quelque chose de la beauté et de l’humanité des écrits d’Akira Yoshimura, de l’esthétique raffinée et figée du Shokuzai de Kiyoshi Kurusawa ou du Labyrinthe des Rêves de Sogo Ishii, quelque chose du Mirages d’été de Kazu Yusuki et de la tension sexuelle, de l’empathie pour les corps violés et soumis de certains films de Koji Wakamatsu, quelque chose enfin du fétishisme et de l’obsession pour les femmes de Nobuyoshi Araki.
Et puis la nature, omniprésente, sensuelle et apaisante.
Une esthétique figée chargée de tension sexuelle et de fétichisme. Une illusion érotique en 4 chapitres : 少女 la fille, 自然 la nature, 鉄道 le train, 女性 la femme. » source : ascenseurvegetal.com
Le loup réapparaît dans le Finistère après plus d’un siècle d’absence
C’est sur la commune de Berrien, dans les monts d’Arrée, au sein du Parc naturel régional d’Armorique, qu’a été filmé un loup mercredi. « Si sa présence dans le Finistère est une première depuis plus d’un siècle, l’espèce est connue pour sa grande capacité de dispersion », a souligné la préfecture de Quimper dans un communiqué. source : sudouest.fr
tag : hurler avec les loups
le monde de Morel Emile
Emile Morel est un artiste français né en 1975. Il pratique un art digital, à la pointe du pixel-art, qui lui permet d’exprimer ses visions fantasmagoriques, peuplées de personnages hybrides. Un monde fantastique qui puise dans un imaginaire médiéval mais également dans l’enfer décrit par Dante dans sa « Divine comédie ». Ce décor est, pour l’artiste, un prétexte à la mise en scène de pulsions primitives bestiales et idylliques d’une mythologie intimiste. Les œuvres d’Emile Morel surprennent par la profusion des détails et leur pouvoir évocateur. source : artsper.com
autres publications bretzel liquide taguées Morel Emile
J’veux du cuir, pas du Confo, pas du But – Alain souchon / Francis Giacobetti : Jane Birkin
Francis Giacobetti, né le 1ᵉʳ juillet 1939 à Marseille, est un photographe et réalisateur de cinéma français. (Wikipedia)
Arrêtez tout, dans les magazines
Nouvel Homme, Tweed et fiches cuisines
Amenez les jarretelles, les bas résilles
Les sexy dentelles, les talons aiguilles
Mais si j’dis ça, je casse mon image (hou)
Ce serait dommage (ha) (ce serait dommage)
Mais si j’dis ça, je casse mon image (hou)
Ce serait dommage d’être au chômage à mon âge (ha)
J’veux du cuir, pas du peep show, du vécu (hou)
J’veux des gros seins, des gros culs, ah, ah (hou)
J’veux du cuir
Sade et Shade et Suzy Q (Sade et Shade et Suzy Q)
Arrachez toutes, vos pull-overs
Amenez le stout, l’éther
Les lames de rasoir, les tubes de colle
Nus sous l’manteau à la sortie des écoles
Souchon sur youtube
Emmanuel Macron : renaissance, la sextape – Hare Krishna, Jonas Mekas
Lors d’une conférence de presse commune avec le patron du MoDem François Bayrou, le chef d’Horizons Edouard Philippe et le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, Stanislas Guérini a annoncé ce jeudi 5 mai un changement de nom pour La République en Marche. Le parti présidentiel est rebaptisé « Renaissance ». source : nouvelobs.com
tags : extase, renaissance (sans plomb)
mon amie Pierrot – Vincent Peters
Au clair de la Lune
Mon ami Pierrot
Prête-moi ta plume
Pour écrire un mot
– Quels sont les photographes qui vous ont influencé ?
VP : Je me sens plus proche des chefs opérateurs – et de l’univers du cinéma en général – que des photographes. J’ai beaucoup regardé les images de Time & Life et j’aime vraiment des photographes comme Richard Avedon, Bruce Davidson, ou Elmut Newton. Mais le travail de quelqu’un comme Greg Toland (directeur de la photo entre 1926 et 1948, notamment sur Citizen Kane), ou de Gordon Willis, dans les années 70, chef opérateur sur Le Parrain par exemple, ou Manhattan, de Woody Allen, me parle davantage – Manhattan étant, à mes yeux, l’un des plus beaux films en noir et blanc du cinéma.
– Vous n’êtes pas passé par une école de photo ?
VP : Non. À 17 ans, je me suis fait virer du lycée, en Allemagne. Ma mère est donc allée m’inscrire à l’école de Beaux-Arts où elle-même avait fait ses études. Par le circuit scolaire normal il fallait 50 points pour être admis. Hors scolarité, il fallait passer « le test du talent » fixé à 100 points. J’ai passé le test. J’ai obtenu 99 points. Ma mère a insisté pour que je sois admis quand même, mais le message qu’on voulait me faire passer était : « c’est bien, mais tu es encore un peu trop jeune pour entrer dans cette école. Il faudra revenir dans quelques années, quand tu auras mûri ».
Alors en attendant, j’ai décidé de faire un stage comme assistant de photographe. Le soir de la première journée de stage – je me souviens très bien, on était arrêtés à un feu rouge – j’ai dit : « Je veux être photographe ». Je revois tout. Le feu rouge, la voiture, le photographe…
Depuis, rien n’a vraiment changé. Je ne savais pas trop quoi faire de ma vie, et tout à coup, c’était évident. Je suis devenu photographe. Je me suis acheté un appareil photo, un Mamiya RZ, et c’est toujours le même que j’utilise aujourd’hui, je shoote toujours en films. Et puis finalement, à l’époque, le photographe m’a viré parce que je n’y connaissais vraiment rien et que ce n’est pas un métier si facile, mais il me restait encore pas mal de temps avant de pouvoir intégrer l’école des Beaux-Arts. Ma mère m’a donné 1000 Deutsche Marks pour aller à New-York et essayer de devenir assistant photographe là-bas. source : processusphoto.com
un accord a été trouvé – Keith Carter, Hands, 1991
Le travail de Keith Carter explore le temps, le lieu et la culture vernaculaire. Décrit comme un « poète de l’ordinaire » par le Los Angeles Times, ses photographies ont été exposées dans plus de cent quinze expositions personnelles dans treize pays. source : keithcarterphotographs.com
tag : une poignée de main historique