l’après-midi il y avait parfois un petit souffle d’air – Jan L. Waldron
Je pense que ce qui unifie mon travail est un seul désir de vivre dans la peinture aussi longtemps qu’il le faudra pour la réaliser : rester ouvert à ce que dit la peinture. Cela signifie souvent abandonner un plan, pour un chemin plus convaincant. La peinture apparaît quand je sors du chemin.
Jan L. Waldron