Emmanuel Macron : merci les filles – Jean-Paul Belmondo, le magnifique, 1973
Emmanuel Macron va donc rester président de la République: le chef de l’Etat sortant est réélu à l’issue du second tour de l’élection présidentielle, avec près de 58% des voix face à sa rivale Marine Le Pen, selon notre estimation Elabe. Tous les instituts de sondage donnent des résultats similaires, ainsi qu’une forte abstention et une part importante de votes blancs et de bulletins nuls. (BZLTV)
les bateaux dans le ciel – en levant la tête, on entendait passer le Hollandais volant – Sart Canal Bridge in Belgium.
Le Pont–canal du Sart est un pont-canal à poutres latérales en béton précontraint qui a été construit de 1998 à 2002 structurae.net
Facebook a jugé utile de rajouter l’avertissement suivant sur cette photo :
« Des médias de vérification indépendants AFP CanadaMédia de vérificationThis photo shows the Sart Canal bridge in Belgium À propos de cet avertissement Les mêmes informations ont été vérifiées dans une autre publication par des médias de vérification. Il peut y avoir de petites différences. Des médias de vérification indépendants affirment que ces informations manquent de contexte, ce qui pourrait induire des personnes en erreur. En savoir plus sur la collaboration de Facebook avec des médias de vérification indépendants pour arrêter la propagation des fausses informations. »
l’absurdité de la vérification de fait automatisée s’étend. Bientôt, on verra son compte bloqué pour avoir cité Le Bateau Ivre… C’est d’autant plus délirant que l’Information Vraie qu’ils rajoutent est déjà présente dans la légende, on dirait les Dupondt « je dirais même plus… »
Le matin, je m’éveille en chantant Et le soir, je me couche en dansant Entre temps, je fais la sieste Voilà tout ce qui me reste Ou je me fais du café On ne se soigne jamais assez
Les Gashadokuro (がしゃどくろ/ 餓者髑髏, littéralement « squelette affamé », également connu sous le nom d’ Odokuro ) sont des créatures mythiques de la mythologie japonaise.
Les Gashadokuro sont des esprits qui prennent la forme de squelettes géants et sont quinze fois plus grands qu’une personne moyenne, censés être créés à partir des fantômes des personnes qui sont mortes au combat et n’ont pas été enterrées. Le désir de vengeance des peuples pousse les Gashadokuro à errer après minuit, attrapant des voyageurs solitaires et leur mordant la tête pour boire leur sang pulvérisé. Il existe un moyen de connaître leur approche, car la victime entendrait le son d’un fort bourdonnement dans l’oreille causé par le claquement de ses dents. On dit que le Gashadokuro possède les pouvoirs d’invisibilité et d’indestructibilité puisqu’il est composé des os de personnes déjà décédées, bien que les charmes shinto soient censés les éloigner. Sinon, un Gashadokuro continuera à chasser sa proie jusqu’à ce que sa colère refoulée soit libérée, provoquant le froissement des os et l’effondrement du Gashadokuro. (Wikipedia)
la possibilité d’une clef – Samuel Bak : Possibly (Key to the Childhood City), oil on canvas, 2002
Samuel Bak est un peintre américain d’origine lituanienne. Survivant de la Shoah, son œuvre représente, par des symboles, métaphores et allégories, un monde perdu et une quête de reconstruction. (Wikipedia)
Une fois en position de glissée, pattes tendues vers l’avant, paumes jointes, on commence avec un mouvement de bras. Il se décompose en 4 étapes : appui, traction, compression, glissée.
On se positionne, c’est l’appui. Ou position de glissée.
La deuxième étape, la traction, consiste à ramener les pattes vers l’arrière. Les doigts sont presque joints, les paumes des mains tournées vers l’extérieur et les pouces orientés vers le fond du bassin. Quand on ramène les bras vers l’arrière, les coudes ne doivent pas dépasser les épaules. La tête sort naturellement de l’eau.
Pour la troisième étape du mouvement, la compression, ou poussée, on ramène les mains vers la poitrine. Et on les tend vers l’avant, paumes jointes, pour revenir à la position d’appui. La tête entre sous l’eau au moment de la poussée.
Enfin, une fois les pattes revenus dans la position d’appuis, on se laisse glisser dans l’eau.
Pour la brasse, il faut surtout retenir que c’est le mouvement des ailes, ou ciseau de brasse, qui importe le plus. Bien réalisé, il permet une bonne propulsion. À savoir : c’est l’un des plus techniques et des plus difficiles en natation. Contrairement aux idées reçues.
Pour le maîtriser, on retient qu’il s’effectue en 3 temps : plier, écarter, serrer.
Dans un premier temps, on plie les ailes, en ramenant les talons sur les fesses.
Ensuite, on écarte, pieds orientés vers l’extérieur, jambes toujours fléchies.
Enfin, on se propulse, en resserrant les ailes pour les tendre vers l’arrière. Les ailes reprennent la position de départ. Vous devez sentir une petite ondulation naturelle au niveau du bassin. Attention, les mouvements d’ailes doivent toujours être bien symétriques.
Pour être efficaces, les poussées des pattes et des ailes doivent être bien coordonnées. Retenez qu’on plie les ailes une fois la traction avec les pattes terminée. source : nabaiji.fr
je suis un homme de convictions – demain j’irai voter
personne ne pourra m’empêcher de clamer haut et fort ce en quoi je crois, les valeurs cardinales de la civilisation gravées dans ma chair et pour lesquelles je suis prêt à mourir.
tag : tatouage, j’aime le raisin de table, bloc identitaire